L'achat
Datte: 23/09/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
grossexe,
bizarre,
fsoumise,
humilié(e),
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
fouetfesse,
... rien, restant raide comme une statue grecque, comme celles qui ornent les jardins de ma demeure. La brève image de ma bru trônant nue et figée au milieu des fleurs fuse dans mon esprit. Je me redresse un peu plus : — Pour en revenir à votre question, si vous étiez restée la jeune mariée que j’ai connue, je pense que j’aurais eu l’immense plaisir de vous faire découvrir bien des choses, et de les partager avec vous.— Mais plus à présent, Sir Andrew ?— C’est hors propos, vous êtes la femme de mon fils.— Et si je divorce ?— Vous ?— Oui, moi ! Je croyais qu’elle se souciait du fait que les gens allaient jaser d’une simple séparation, et là, elle me suggère carrément l’étape suivante et même plus loin que ça ! J’étais venu résoudre le gros problème de mon fils, et je suis en train d’en récupérer un autre encore plus gros ! Eugenia est une belle femme, c’est incontestable. Elle est aussi assez douée dans divers domaines, mais elle n’arrive pas à la cheville de Miss Gladys. Et en plus, il s’agit de ma bru. — Au lieu de dire des grosses bêtises par bravade et de vous contredire, réconciliez-vous donc avec Oliver et faites avec lui ce que vous aviez prévu pour moi. De mon côté, je me ferai un plaisir de vous aider tous les deux, mon fils surtout, car je reconnais que, parfois, il n’a pas inventé l’eau chaude pour certaines choses. Quant à vous, je ne me fais pas trop de soucis, vous saurez le mener par le bout du nez ! Je reconnais que ce n’est pas tout à fait l’image que j’avais en ...
... tête, mais comme nous sommes dans le beau monde, il y a des choses à ne pas dire. Eugenia sourit : — Promis ? Vous allez nous aider ? Lui comme moi ?— C’est bien ce que j’ai dit.— Alors soit. Mais si l’entreprise échoue, j’espère bien vous faire changer d’avis me concernant.— N’échouez pas volontairement, Eugenia… N’oubliez pas que je suis devenu un vieil homme.— Vieil homme, c’est vous qui le dites ! Pacte conclu ? À ma grande surprise, elle tend la main. Après un certain flottement, je la serre : — Pacte conclu. Je vous en envoie Oliver.— Je m’en occupe, mon cher beau-père.— Je n’en doute point, ma chère belle-fille. Puis je quitte la pièce pour aller chercher mon fils. Quelque part, je le plains, j’espère qu’il se montrera à la hauteur de nos attentes. Mais c’est lui qui a joué avec le feu en s’amourachant de sa danseuse. S’il avait gardé sa petite couturière, je pense qu’il n’aurait pas eu de problème. En parlant de cette dernière, d’après mes sources, elle et son amant de peintre filaient le parfait amour. Tant mieux pour eux. Et tant pis pour mon crétin de fils ! J’ouvre la porte du fiacre. Oliver me dévisage avec anxiété. Je lui dis simplement : — Elle t’attend, mais il va falloir mettre du tien. Elle va mettre un certain temps avant d’oublier.— Merci, Père.— Un conseil, agis avec elle comme au début que tu l’as connue.— Mais elle ne veut pas ! Elle dit que ce n’est plus de notre âge !— Fais comme si de rien n’était, agis comme avant. Et persévère. Imagine qu’elle soit ...