1. L'achat


    Datte: 23/09/2018, Catégories: fh, fhhh, hplusag, inconnu, grossexe, bizarre, fsoumise, humilié(e), BDSM / Fétichisme facial, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, sm, fouetfesse,

    ... n’attendait que ça, et elle s’est gentiment laissée faire.— Comment savez-vous tout ceci ? Vos anciens états de service, comme vous dites ?— Pour la bonne raison que j’ai acheté avant-hier un tableau de sa main et que celui-ci représente tout simplement ton ex-maîtresse, ta gracieuse couturière, en habit de Diane ou d’Artémis. En habit, c’est vite dit ! Belle femme et aussi beau coup de pinceau. Le tout, fait en moins d’une semaine ! Ton ami a fait d’indéniables progrès avec une telle muse, et je pense qu’il n’est pas près de la lâcher : il fallait voir avec quel enthousiasme il parlait de sa nouvelle égérie, et avec quelle lueur dans les yeux ! Entre nous, tu as été stupide de laisser tomber pareille femme ! Comme un gamin contrarié, mon fils fait la moue, il se défend mollement, tentant de se monter passionné et passionnel, mais la chaleur manque à l’appel… — Amy est divine, elle rayonne littéralement, Père, elle est… comment dire…— Elle se situe plus sur le haut du panier, et elle te valorise, nettement plus qu’une simple couturière, fût-elle la réincarnation d’Aphrodite ou d’Artémis… Je me trompe ?— Décidément, vous êtes cynique, Père… Un certain silence s’installe. Je vois bien que, depuis le début de notre conversation, mon fils essaye d’aborder un certain sujet, mais qu’il ne sait pas par où commencer. Je décide de lui tendre la perche et de le lui demander sans circonvolution : — Je te connais assez, mon fils, pour savoir que tu as quelque chose à me dire…— C’est ...
    ... vrai… Enfin, ce n’est pas vraiment moi, c’est surtout Adélaïde…— Ta petite sœur ne sait pas faire ses commissions toute seule ?— Il paraît que c’est le privilège de l’aîné que de parler au nom de la fratrie…— Je reconnais bien là ta chère sœur ! Donc, mes enfants ont quelque chose à me dire ?— Oui, Père. Ça concerne votre nouvelle collaboratrice…— Miss Gladys ? Comment ça ? Mon fils semble gêné, mais ça ne l’empêche pas de continuer : — Disons que nous nous interrogeons sur son rôle exact auprès de vous… Je secoue la tête, je savais qu’il fallait un beau jour clarifier les choses : — Miss Gladys est ma dame de compagnie le jour et ma maîtresse la nuit, cette explication te convient ? Ah oui, j’oubliais, elle est même ma collaboratrice. Tu vois, toutes en une.— Père ! Comme vous y allez !— Tu pourras dire à ta chère sœur que c’est préférable ainsi. Et ce n’est certainement pas toi qui viendras me reprocher d’avoir une maîtresse. À moins que ta sœur et toi, vous ne préfériez que je l’épouse pour la bienséance et que je lui fasse plein d’enfants qui viendront vous disputer par la suite l’héritage familial ?— Vous êtes désabusé, Père…— Non, réaliste ! Le privilège des cheveux blancs, vois-tu, un mince réconfort quand on a perdu la vigueur de la jeunesse et en partie la santé. Rassure-toi, j’ai passé l’âge d’avoir des enfants. Miss Gladys aussi. Pas tout à fait, il est vrai, elle est encore jeune, mais je suppose qu’elle n’en veut pas. Ta regrettée mère nous a quittés depuis bien des ...
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