1. Les six week-ends marquants d'Emilie (7)


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Hétéro

    ... de classe pour moi. Pourtant, c’est elle qui tire la première : — Oh, un costume ! Je t’ai rarement vu ainsi vêtu. — Je suis rarement sorti en tête à tête avec toi. Elle rit. J’en profite. — Moi par contre, je t’ai déjà vue belle et élégante, mais ce soir, tu me troubles particulièrement. Cette robe orange est magnifique. En haut, un bustier sans bretelles dessine avec élégance la belle poitrine de Noémie. A la taille, la robe s’évase en larges vagues. Tous les accessoires de Noémie sont blancs, y compris ses bas, et je trouve ça extrêmement sexy. Nous descendons et Noémie me prend le bras. Je suis fier de traverser le restaurant avec une si belle femme à mes côtés. Notre table est un peu isolée, au bord de la fenêtre. La vue est magnifique et nous passons une excellente soirée. Il serait faux de dire qu’il n’y a pas de séduction entre nous. Nous avons tous les deux envie de jouer à ce jeu et nous avons tous les deux besoin de nous rassurer. Quelques mots, des compliments, de la douceur. A la fin du repas, je propose à Noémie d’aller boire un verre au bar mais avant cela, le serveur nous propose de sortir sur le toit de l’hôtel. La vue sur la ville est imprenable, parait-il. Nous sortons. En ce mois de mars, il est encore froid la nuit et Noémie frissonne dès qu’elle met un pied dehors. Je retire ma veste de costume et la dépose sur ses épaules. Surprise par mon geste, Noémie sourit. Nous faisons le tour de l’esplanade. La vue est effectivement fantastique. Devant le plus ...
    ... beau panorama, je prends Noémie par la taille et la serre contre moi. Elle se love contre mon épaule. Elle me dit doucement : — Je voulais te dire que j’ai énormément apprécié nos dernières rencontres. Chez toi, chez moi. J’ai toujours passé d’excellentes soirées même si les sujets abordés n’étaient pas toujours des plus gais. Aussi, je n’aurais pas voulu venir ici avec une autre personne que toi. — Ça me touche que tu dises cela. J’ai aussi aimé ces moments avec toi et j’avoue qu’en recevant ce bon, tu es la première personne avec qui j’ai pensé le partager. En parlant, nous nous sommes tournés, face à face, et lentement, comme aimantées, nos lèvres s’enlacent et se goûtent. Nos langues s’échangent, jouent, tournent. Des frissons d’excitation parcourent mon corps des pieds à la tête. C’est divinement bon, brûlant et d’une intensité inouïe. Noémie dit ensuite : — Je ne sais pas ce que nous faisons, mais je sais que je n’ai pas envie d’aller boire un verre. — Moi non plus. Nous rentrons et descendons à notre chambre. A l’intérieur, nos baisers reprennent de plus belle et nous passons sur le lit. Assez directement, Noémie met la main à mon entrejambe et entreprend rapidement de sortir mon sexe. Lorsqu’elle le dévoile, elle dit : — Je me doutais que tu étais bien membré, mais pas à ce point. Elle se penche sur mon engin et commence à me sucer. Je prends un plaisir fou à recevoir cette caresse. Quand elle se redresse, je retire chaussures, pantalon, chaussettes et boxer. Noémie ...