Les six week-ends marquants d'Emilie (7) - Histoires de Sexe

Les six week-ends marquants d'Emilie (7)

... s’est levée et dézippe doucement sa robe. Elle la retire par le haut, dévoilant un string et un porte-jarretelles blancs comme les bas. Elle sourit, fière de la surprise qu’elle provoque sur mon visage : — J’ai cru comprendre que tu aimais bien ce genre de lingerie. Elle s’approche de moi, j’embrasse son ventre. — J’adore. Je descends lentement son string et embrasse son minou glabre. Puis je l’attire à califourchon sur mes cuisses et embrasse ses seins. Elle gémit doucement puis elle me dit : — Tu n’as couché avec personne depuis Emilie ? — Non. — Ça te dérange si on ne met pas de capote ? — Pas du tout... Noémie remonte sur mes cuisses et fait glisser mon sexe contre le sien. Puis lentement, elle le dirige à l’intérieur et me fait pénétrer son intimité. Notre première positon est celle du lotus, la plus sensuelle. xrfxnnh La suite de notre rapport est tout aussi charnel et érotique. Noémie est une partenaire curieuse, ouverte et active. Nous reviendrons au lotus en fin d’ébat au moment où je jouirai en elle. Noémie est finalement ravie que nous dormions dans un lit double. Nous faisons l’amour une seconde fois au court de la nuit, puis une troisième au matin. En remontant du petit-déjeuner, je surprend Noémie. Contre la baie vitrée puis sur le fauteuil, je baise la meilleure amie de ma femme qui ne s’était pas faite prendre ainsi "depuis des années". Lorsque nous quittons l’hôtel, nous savons tous les deux qu’il y aura d’autres rencontres. Si agréables que nous nous installons ensemble après l’été, à la fureur d’Emilie qui ne nous adressera plus la parole durant six mois. Les quatre enfants, eux, se sont montrés ravis. Dix ans plus tard, Noémie est toujours ma concubine. A 50 ans, elle est une partenaire sexuelle épanouie, capable d’être la plus tendre des amantes comme la plus cochonne des maîtresses. END