1. Un e pute à l étage


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... m'inquiétais n'ayant plus de nouvelles de vous. « Point dupe elle dut improviser une réponse autant crédible. « Oui une mauvaise grippe trop difficile à régler. Je n'aurais voulu pour rien au monde contaminer. » J'affectais de la croire et souris mais il fallait pousser mon avantage. « Puis-je entrer ? » J'avais avancé un pied dans un coin de la porte.Effrayée elle jeta un coup d’œil derrière elle. Je demandais : »Pardon vous n'êtes peut-être pas seule ? » «Non non » répondit-elle. « Vous pouvez rentrer. » Je savourais la première victoire. j'avais mis un pied dans la place. Elle avait un peignoir fin qui la moulait. Je devinais qu'elle devait s'être douchée. Elle roulait du cul devant moi fonçant vers son salon. Elle avait semble-t-il recouvré un peu ses esprits. Son sourire était semblable aux autres fois. Elle me montra un CD sur une chaîne. « J'ai demandé à mon mari de m'amener du Bach et du Chopin. Il fallait vous remplacer. »Je lui répondis penaud. « Forcément il doit s'agir de pianistes ne faisant pas de fausses notes. » Elle sourit tristement devinant qu'elle m'avait blessé. Elle me proposa à boire. Elle s'était enfoncée dans son fauteuil. Elle était sur le point de me refaire le numéro de charme. Entre temps ma colère et mon amertume étaient revenus. Tel un coup de tonnerre je lâchais : « Vous savez je vous ai suivi un matin. « Je lus de la stupeur dans son visage. J'inventais, je bluffais. « J'ai deviné que vous visitiez de vos amants. « A présent son regard ...
    ... était noir. J'avais du toucher juste quelque part.Nous étions chacun en face sur nos ergots sur le point de nous étriper. Je crus devoir faire retomber la tension. Je convins que mon comportement était déplacé. « Excusez-moi d'être venu vous insulter. Je n'ai aucun droit sur vous. Je ne suis pas votre mari. » Je crus qu’elle allait persister dans son hostilité. Au contraire un sourire cruel que je ne lui connaissais pas transforma tout son visage. Elle semblât avoir aussi une autre voix. Elle dit : « Sachez que l'homme dont vous parlez n'est pas mon mari. C'est un ami, un protecteur. Quant à mes occupations il est vrai elles sont particulières. »J'étais effondré. Elle convenait de ce que je soupçonnais. Il y avait du mépris dans son air. Je me rappelais du propos sans appel du portugais. L'hypothèse de prostitution se précisait. Je devinais ce qu’elle voulait me soufflait : « Mon Zozo ne te plaint pas. Tu m'as baisé l'autre fois pour rien. » J'étais un sot, un niais. Comment avais-je conçu des espérances pour une pareille créature. J'avais mêlé les choses du cœur à nos étreintes. Maintenant elle s'employait à piétiner toutes ces roses. Elle était là encore belle et désirable et je ne pourrais plus la baiser. Devinât-elle mon sentiment ?Je me levais déjà sur le point de partir. Elle en parut étonnée et comme pour se ratt****r, elle ajoutât : « Tu sais j’attends un monsieur mais tu pourras aux alentours de seize heures revenir. On s'arrangera. » Elle ne me proposait pas moins de ...
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