1. Un e pute à l étage


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... baiser pour un bon prix. Je ne daignais lui répondre. Je m'enfuis. J'étais désespéré. Je l'avais bien cherché de toute façon. Cette femme si singulière ne pouvait être que fatale. Soudain je m'exclamais : « Quel pouvait être ce monsieur ? » Déjà le démon de la jalousie me taraudait. Je guettais des pas derrière la porte dans l'escalier.Je n'attendis guère longtemps ; Je vis un gros et vieux monsieur soufflant grimpant dans les étages. Je calculais là où il s'arrêtait et frappait à la porte. Il n' y avait pas de doute. C'était chez elle. Il s’agissait bien de lui. Je ne pus réprimer un cri de rage : « Ah la pute ! » Je vins à m’installer assis sur une chaise derrière ma porte pour guetter la sortie du bonhomme. Le supplice dura une heure. Qu'avaient-ils pu faire tous deux. Le gars ne me paraissait pas un étalon susceptible de prouesses. J'imaginais qu’elle avait du le branler et sucer s’offrant à ses caresses. Répugnant ! dis-je.Je fus tenté de monter à seize heures pour lui dire mes vérités. Heureusement le bon sens me revint. Je mesurais le ridicule de mon intervention. Je ravalais mon dépit. Je haïssais tour à tour mon piano, ma bibliothèque. La télévision idiote eût bien fait l’affaire tandis que je vidais sitôt une demi-bouteille de Whisky. Abruti je m'endormis aux lueurs du matin. Le lendemain tant bien que mal je parvins à mon boulot. A la mine goguenarde des collègues je fus soupçonné d'une cuite. Je songeais à l'autre putain qui avait du commencé sa tournée des ...
    ... clients. Enfin décidais-je d'y retourner.Je pris une autre après-midi. Au hasard vins-je à frapper chez elle. Il était seize heures. En fait j'avais précédemment vu un petit brun leste et musclé monter quatre à quatre l'escalier pour aller taper à sa porte. Il était par la suite redescendu. Bref je devinais quelque répit où je pouvais me présenter. Elle ne parut point étonnée de ma venue. « Elle me dit : « Bien vu. Nous avons un moment à nous. Viens. » Elle était fraîche ayant eu temps de se prendre une douche. J'étais épaté de cette faculté qu'ont les femmes à se requinquer. Personne n'eût deviné qu'un type l'avait défoncé.Ostensiblement elle laissait ouvert les pans de son peignoir pour me livrer le spectacle magnifique de ses seins et de son sexe. Je les avais à peine entrevu le fameux soir chez moi dans la pénombre. Là ils m'étaient livrés, offerts. Elle seule parlait. J'étais muré dans le silence. Voyant que je ne me déridais pas, elle finit par me dire : « Tu es bête de te mettre martel en tête chéri. Toi seul tu t'es entiché de moi. Je ne suis qu'une putain. Je vis de cela. Je n'ai pas d'autres choix. » Tout semblât hésiter. Elle se coula en un instant vers moi tel une chatte. Je fermais les yeux et m'abandonnais.Nous baisâmes cependant avec une rare intensité. J'ose croire qu’elle fit cela avec un plaisir tout sincère. Peu à peu mes nerfs se dénouèrent. Je convins que j'étais bien entre ses bras. Je la sodomisais cette fois avec moins de rage que l'autre fois. Je n'en ...
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