Big... bang
Datte: 01/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... poids. — Je n’en ai encore jamais vu d‘aussi grosse ! ne puis-je m’empêcher de dire, le cœur battant. En même temps, j’ai 20 ans, et n’ai que quelques mois d’expérience avec les hommes ! — On y va tranquillement. Nous ne sommes pas pressés ? — Pressé, certainement pas. Seulement impressionné par le volume. Je le décalotte et mes lèvres s’ouvrent pour apprécier ma rencontre. Son goût et son odeur d’homme enivrent mes sens. Son nœud tendre se déforme au passage de mes lèvres pour retrouver tout son volume dans ma bouche et en occuper tout l’espace. Pour quitter ma bouche, il s’étire dans l’autre sens, glisse entre mes lèvres. Drôles et exquises sensations qu’offrent les très gros volumes. Je joue avec son méat, le lèche comme une glace, puis le ravale avec passion, en tentant d’avaler une partie de la hampe. De mon autre main, je lui attrape les bourses. Elles sont à l’échelle de la bête, bien gonflée, plutôt pendantes. Je savoure ma veine en engouffrant cette queue qui durcit et s’allonge graduellement en mettant mes maxillaires à rude épreuve. Sa main parcourant mon dos et ses appréciations me rassurent sur ma prestation. Il m’encourage à bien le sucer, me demande si j’aime ça. Je respire fort et mon bas-ventre chauffe sous l’excitation. Je ressens souvent une douce chaleur qui envahit tout le bas de mon ventre et mon rectum lorsqu’un mec me plaît. Et lui me plaît ! À sa demande, je m’occupe de ses couilles, aspire sa généreuse peau tout en le branlant lentement. Sa main ...
... descend maintenant vers mes fesses par-dessus mon jean ; mes lèvres, elles, remontent le long de son épaisse hampe, sucent son frein, puis lèchent de nouveau sa queue jusqu’aux couilles... je suis sur un petit nuage. Comme pour un jouet hi-tech rempli de fonctions inédites, je meurs d’envie de tout découvrir sans trop savoir par où débuter. Comme mon fessier semble l’intéresser, je me redresse rapidement pour l’aider. En deux secondes, j’envoie valser mes chaussures et retire mon futal, me retrouvant à demi nu dans cette voiture, sur ce petit chemin au bord de l’eau. Mais qu’importe, je replonge m’occuper de cette grosse queue maintenant bien bandée dont le gland repose sur le nombril de son propriétaire. Je tète ce gros nœud au rythme de sa main posée sur ma nuque. Son autre main découvre mon corps, plus particulièrement mon cul qui chauffe d’ailleurs de plus en plus. Ses doigts agrippent mes bourses et les malaxent, ce qui me donne encore plus d’entrain pour pomper sa queue. Il appuie bien sa main sur ma nuque pour que je le prenne loin en bouche, et pétrit mes fesses en me disant qu’il apprécie autant ce qu’il voit que ce qu’il sent. Son majeur parcourt ma raie un moment avant de se poser sur mon anus, dont il enfonce gentiment les portes, comme pour en tester l’élasticité. Il s’y enfonce sans forcer, juste en m’arrachant un râle de plaisir aussitôt étouffé pas son bâillon. — Tu aimes te faire prendre ? me lance-t-il alors que son doigt me pénètre tout naturellement. — Oui, ...