Big... bang
Datte: 01/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... avec beaucoup de douceur. Mais... la tienne est beaucoup trop grosse, elle me fait un peu peur ! — Je suis certain que tu vas l’adorer. Je te trouve trop gourmand pour ne pas la vouloir en toi. Et toujours cette boule de feu qui consume mes reins et tout le bas-ventre. Plus je m’acharne sur sa queue, plus je la trouve énorme, plus je l’aime. En effet, l’idée de me faire sauter m’excite. Mais avec un truc pareil, c’est perdre une deuxième fois mon pucelage. Et ça, je n’ai pas envie de le faire là, sur le capot de la voiture ! Plus il me doigte, plus je me trémousse pour aller à la rencontre de sa paume. En un rien de temps, ce sont deux doigts qui me sondent, et qui me donnent encore plus envie de lui dévorer sa bite de cheval. Je me démonte la mâchoire sur ce membre obsessionnel tout en remuant du cul pour mieux le sentir m’explorer. — Ton cul m’excite, tu me donnes envie de te prendre. Hummm... tu as tellement l’air d’aimer ça. Trois doigts me fouillent allègrement maintenant, mon cul fait des ruades, car déjà son corps tout entier me pénètre. Alors qu’il s’occupe de moi, il m’explique qu’il adorerait sentir mon cul lui masser la queue, qu’il désirerait m’entendre crier de plaisir. Et si j’imagine bien le plaisir qu’il pourrait me faire vivre, je ne me vois pas me faire prendre dans cette espace si restreint. — Pas ici. Dis-je entre deux aller-retour. Je veux bien que tu me la mettes, mais pas ici. — J’en ai trop envie, tu me fais bander comme un âne ! Mon esprit part dans ...
... tous les sens, partagé entre ce qu’il se passe en haut et en bas. Je la trouve immense, je désire plus que tout la sentir passer en moi, mais pas dans n’importe quelles conditions. Pourtant, je ne voudrais pas qu’il reparte sans l’avoir reçu en moi. Je tente alors ma chance en lui proposant, sans trop y croire, qu’il vienne dans mon appartement. — Chez moi. chuchotais-je. Viens chez moi, on sera mieux. Tu pourras me prendre comme tu veux. OK ? — Hummmmmm... volontiers. Mais fais-moi jouir maintenant, tu m’as trop chauffé. Suce-moi fort s'il te plaît. Je pourrai te sauter plus longtemps après. Tu m’as mis les couilles en feu ! J’empoigne alors cette queue renflée à deux mains pour mieux le branler au rythme de mes succions. Ma bouche distendue et presque douloureuse plonge inlassablement autour de son gland et ma main coulisse pour branler ce puissant mâle de plus en plus vite. Malgré l’inconfort de ma position, ses doigts me procurent d’incroyables frissons dans tout mon ventre, et ce ne sont que des doigts ! Je n’aurais jamais imaginé ressentir autant de choses quelques mois plus tôt. Je rêver de queues, de giclées de sperme brûlant en bouche, de 69 entre hommes, mais pas vraiment de sodomie ! Stéphane m’a fait découvrir ce côté hypersensible de mon anatomie. Sous ses doux mouvements de bassin lors de lentes et profondes étreintes, j’ai découvert la jouissance anale, la vraie, ravageuse, car purement cérébrale. Mon corps s’en souvient et recherche maintenant ce plaisir rare, ...