1. Le déclic


    Datte: 01/08/2017, Catégories: f, ff, ffh, jeunes, copains, vacances, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, confession, Lesbienne

    ... droit qui n’attendait que ça. Elle fit quelques mouvements langoureux en montant puis en s’abaissant avec douceur puis se releva et dit, d’une voix sans appel : — Coco, suce-le encore, qu’il soit plus dur ! Et moi, j’obéis. Je ne me reconnaissais plus mais j’avais encore envie de cette bite. Alors… Alors je me rendis compte qu’elle n’avait pas le même goût. Ce que j’avais en bouche c’était le parfum de Françoise. J’étais étonnée et subjuguée par ce parfum qui embauma mon esprit. Françoise changea sans doute d’avis sur ce qu’elle voulait faire car elle se mit de côté et vint enlever ma culotte. Cela me fit prendre conscience que j’étais au bord de… de, je ne savais plus, mais je sentis soudain quelque chose de chaud arriver à l’arrière de mon cul. Elle me léchait. Partout. La chatte. Le cul. Je me sentis obscène mais c’était si bon. C’est le moment que choisit Thierry pour jouir, sans me prévenir. Mais j’étais ailleurs : là, derrière moi. Je dois dire que j’ai dû un peu le laisser tomber. Je me déplaçai et attirai Françoise à moi. Je voulais lui en faire autant. Et ce fut divin. Cela dura un temps que je ne saurais dire, ...
    ... on jouit plusieurs fois. Quand j’émergeai, Françoise dormait, et Thierry se masturbait, arqué vers le ciel. Je m’endormis à mon tour. — Ben, ma vieille ! Et vous avez recommencé ?— Avec Thierry, quelques fois, mais toutes les deux, souvent, selon les moments. Des attouchements furtifs, aux séances que tu ne peux imaginer.— Et moi j’ai rien vu !— On ne savait pas comment tu réagirais, et comme on est toutes les deux amoureuses de toi…— Vrai ? Mais alors ?— Mais alors, ça va pouvoir être génial au retour des vacances. Dis-moi, qu’est-ce qui t’avait excité comme ça cette nuit ?— Ben, je crois que c’est Héloïse. Et je lui racontai mon lavage de dents, sans trop oser lui parler de la vue de son cul à elle, qui en avait suivi. Corinne, en m’écoutant s’était glissée vers ma chatte et je m’arrêtai de parler. Je repartis vers le rêve. Je voyais sa tête posée sur ma chatte, ses cheveux s’étalant jusqu’à mon nombril, et son cul rehaussé, derrière sa tête. Je fermai les yeux. Quand je les rouvris, je vis, derrière ses fesses, Nora, notre directrice adjointe, silencieuse, une main glissé dans son pantalon de survêtement… (À suivre) 
«12345»