1. Les fantasmes de la notaire (1)


    Datte: 26/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et de la placer devant la table pour être aux premières loges. La musique rythmée, répétitive annonçait quelque chose de pittoresque, du spectaculaire, mais Marie-Cécile feignit de ne pas avoir deviné. Aussi applaudit-elle à tout rompre quand le premier beau mec, musclé à souhait, fit son apparition, dansant en rythme, torse nu et luisant, en pantalon moulant, arborant fièrement son nœud papillon rouge. Entrèrent juste après un, puis un second, puis trois autres jeunes hommes. Un blond, un basané, très typé, deux bruns, et un Noir, métissé, puissant. Marie-Cécile appréciait le spectacle, se rinçait l’œil, riait, applaudissait, tandis qu’un nombre croissant de filles et de femmes imitaient les deux amies, arrivant avec leur chaise et se massant au plus près du cercle virtuel de la scène. Les mecs, bien dotés en biceps et en tablettes de chocolat, se trémoussaient sur une chorégraphie impeccable, riant de toutes leurs dents blanches, lançant des œillades à qui mieux mieux au milieu des cris aigus des femelles en délire, qui finissaient par faire autant de bruit que la musique. Les garçons au physique de rêve firent ensemble glisser leurs pantalons et les jetèrent sur les spectatrices, déchaînant au paroxysme leurs cris hystériques. Imperceptiblement ils s’approchaient des filles, avec des démarches sautillantes, comiques et suggestives, et ils roulaient des hanches, des épaules, des yeux, tandis que des bras féminins se tendaient pour les appeler. Les cinq garçons, ...
    ... provocateurs, se laissaient toucher, passaient de l’une à l’autre, laissant l’une effleurer un pectoral durci, une épaule virile, l’autre palper un biceps au diamètre impressionnant. Marie-Cécile louchait sur les mecs l’un après l’autre, mais plus particulièrement sur les plus typés et sur le Noir, ce qui faisait sourire Stéph car elle connaissait bien les fantasmes de sa copine qu’elle lui avait longuement détaillés, ainsi que ses interrogations, ses scenarii imaginaires où elle accédait enfin à sa soif de connaissance de l’organe viril de l’homme africain, qui était, dans son rêve éveillé, conforme à sa réputation, tant au niveau dimensionnel qu’au niveau de ses performances. Malheureusement pour elle, celui-ci restait à l’extrémité droite de la piste, et ça n’est qu’un beau brun qu’elle put palper furtivement. Des filles, ayant déjà sans doute assisté à un tel spectacle s’avançaient avec leur chaise, et de plus en plus près. Le problème c’est qu’alors que les deux amies s’étaient dès le début placées au plus près de la scène, des filles culottées et plutôt mal éduquées commençaient à s’installer avec leur chaise presque devant elles. Marie-Cécile eut un mouvement d’humeur et avança sa chaise bousculant l’une d’entre elles, en forçant le passage avec son siège. La fille bousculée ne la remarqua même pas et continuait à crier, s’agiter, comme pour appeler l’un des jeunes et beaux mâles. Ceux-ci finirent par s’asseoir à califourchon sur les genoux des femmes assises au plus près de la ...
«1...3456»