Cache-cache (4)
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
cocus,
inconnu,
sport,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
nopéné,
occasion,
couple,
... partenaire. Ils ont continué à marcher ainsi, comme des amoureux. Ensuite ils ont repris leur course, en trottinant. Bien sûr, ils se sont lâchés la main, mais leurs corps étaient tellement proches qu’ils se frôlaient souvent, parfois se heurtant légèrement. C’était pour eux comme un jeu, que je vécus comme une humiliation car, une fois encore, je découvris la capacité troublante de ma femme à se sentir si complice et à l’aise avec un homme qu’elle connaissait à peine. Ils furent bientôt pris d’un fou rire, et tel point qu’ils durent s’arrêter une nouvelle fois. Une fois le calme retrouvé, le type passa son bras autour de sa taille et ils vinrent s’asseoir sur un banc. N’importe quel autre témoin de cette scène aurait pu penser que ce couple à la gaité rayonnante était le fruit d’une union durable, sans imaginer un instant que c’était moi, ce pauvre badaud qui les regardait de loin, qui était le mari de cette si jolie joggeuse qui, à l’instant même, la tête inclinée en arrière, se laissait embrasser sur la bouche ! J’eus l’impression que ce baiser, particulièrement langoureux, durait une éternité. Pendant ce temps, la main du « sportif » caressait doucement l’intérieur des cuisses luisantes de Sophie, comme s’il voulait l’essuyer de sa sueur. C’est elle qui s’est levée la première. Elle lui a pris à nouveau la main, avec une détermination évidente et, comme des voleurs, ils ont attendu un instant où les passants se faisaient rares pour s’engouffrer furtivement dans un buisson ...
... ! C’était la première fois que je me trouvais, moi, à découvert, devant m’approcher de ce que je savais être le lieu du « forfait », en essayant de ne pas me faire trop remarquer des promeneurs, et plus encore de ce couple adultère. J’avais en effet remarqué qu’il portait, lui aussi, une alliance. J’avais perdu toute notion du ridicule, au point où j’en étais, et il y aurait eu sans doute quelque chose de pathétique à me voir plonger maladroitement dans ce fourré comme si ma vie en dépendait. J’avais réussi malgré tout à ne pas faire trop de bruit ! J’étais comme un animal sauvage aux aguets. J’avais l’impression d’avoir perdu un temps fou et j’imaginai déjà ma femme se faire prendre sauvagement par ce joggeur du dimanche ! J’ai finalement entendu un bruit très léger, mais il a fallu que je distingue, entre les feuillages, la scène qui se déroulait maintenant si près de moi, pour me rendre compte que ce bruit était un bruit de bouche, un bruit de succion. Dans une position très émouvante, telle une image pieuse de la Piéta, ma femme avait découvert un sein, et son acolyte, la tête posée sur ses cuisses, tel un gros bébé, était en train de la téter ! Cette impression d’innocence et de douceur, si éloignée de l’assaut sauvage que j’avais imaginé, fut en partie tempérée, quand je me rendis compte que Sophie avait glissé sa main dans le slip du type, et qu’elle le masturbait avec une lenteur qui avait quelque chose d’envoutant. Je parlais d’une image pieuse et c’est vrai que son ...