Cache-cache (4)
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
cocus,
inconnu,
sport,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
nopéné,
occasion,
couple,
... visage à elle exprimait une quiétude merveilleuse, une sorte d’état d’extase. Je ne savais trop alors ce qui lui procurait le plus de plaisir : sentir la succion excitante de ce gros nourrisson qui tétait sa poitrine avec un tel appétit, où le relief édifiant de cette verge bandée et frétillante, certainement si chaude, qu’elle caressait du creux de la main ! Ces caresses échangées exprimaient une sérénité troublante. Je me dis que face au stress de notre existence, nous serions tellement heureux, si nous pouvions ainsi naturellement échanger de la tendresse avec des inconnus ! Malheureusement, nos fantasmes sexuels, furtifs, lorsqu’ils sont accomplis, traduisent rarement un respect mutuel, mais plutôt un besoin violent de soulager une tension. Aussi dans ce moment si improbable, il y avait comme une sorte d’état de grâce… Le comble, c’est que moi même dans une position si inconfortable, et une fois encore désirant tellement mon épouse, devant gérer ma frustration, je reçus quelque chose de cette tendresse par le pouvoir du regard. Comme si voir de la douceur, c’était comme en recevoir… Maintenant, contrairement aux expériences précédentes, j’avais confiance. Je n’imaginai pas qu’elle pût me tromper. Un peu comme si ce n’étaient pas deux adultes qui se retrouvaient dans ce moment de pure tendresse, mais des désirs d’enfants, des désirs de bonheur retrouvés, l’espace d’un instant. Et puis, je le sentis dans cette position totalement dépendant d’elle, et cela me rassura. ...
... C’était elle qui imprimait le rythme de leurs câlins. Ainsi, en lui découvrant bientôt son autre sein, elle lui signifiait qu’il avait besoin lui aussi d’affection… Il passa ainsi d’un sein à l’autre avec cette même avidité qui expliquait l’intensité du bruit que faisait sa bouche ! Sophie quant à elle, de sa main libre, lui caressait maintenant doucement le ventre, hasardant ses doigts aux abords du nombril, puis les glissant bientôt entre les poils de son torse après avoir retroussé jusqu’aux aisselles le maillot de sa proie consentante. Après un long moment dont je percevais toute la saveur exquise, elle prit son visage pour le défaire de son mamelon. Son bout de sein humecté avait si fière allure ! Du bout des doigts, elle frôla le front de son amant, le pourtour de ses yeux, son nez, ses lèvres comme pour s’assurer de la réalité de sa présence, comme une aveugle qui voudrait se représenter l’inconnu qui est près d’elle… Mais en même temps, elle le dévorait littéralement des yeux ! C’est d’un geste soudain qu’elle pencha son visage vers le sien… pour glisser sa langue dans la bouche de son bienfaiteur en guise de remerciement. Je savais les attentions qu’elle était en train de lui procurer. Ces derniers temps, elle m’embrassait avec une fougue et une habileté déconcertante. Je savais qu’à ce moment précis, il ressentait contre sa langue celle de Sophie qui glissait tout autour de la sienne en un ballet sensuel et envoutant. Mais pendant ce temps elle n’avait pas lâché la verge ...