Vacances de Julie (1)
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... fallait pas que je me pose trop de questions métaphysiques… Curieux enchainement de pensées, me reviennent aussi les réflexions maternelles sur les fameux amis qui doivent nous rendre visite et ses concepts libertaires sur la sexualité : était-ce l’occasion de parties fines, effrénées… j’avais du mal à imaginer mes parents ainsi ! Et puis moi, autre sujet d’inquiétude, que vais-je faire la dedans ? L’après midi avance. Maman se lève pour retourner à la cuisine car il y a tout de même un brin de ménage et de vaisselle à faire. J’en profite pour l’accompagner et poser les questions qui me turlupinent. Questions qui l’amusent. Elle me rassure en m’expliquant que nos visiteurs prévus sont plutôt gentils. Ce sont des amis qu’ils connaissent depuis longtemps, du temps où ils fréquentaient des camps naturistes. Ils s’étaient appréciés en partageant des activités sportives communes. Avec eux, c’est vrai, il leur arrive de faire des échanges mais ce ne sont pas des avides de sexe débridé. Quant à moi, je suis libre de faire ce que je veux, ils n’ont rien de prédateurs sexuels et puis mes parents restent là pour me protéger si je devais avoir des soucis ! Ces vacances me découvrent toute une face des parents que je ne supposais même pas, tellement ils savent rester discrets. Je constate toute une réflexion que je ne pouvais deviner, certainement fruit de leur propre expérience. Elle semble bien plus construite que les idées brutes et simplistes de mes différents ex-copains et bien plus ...
... compatibles avec mes conceptions de la vie et du plaisir. 9- Devant toutes ces nouveautés auxquelles j’adhère presque sans réserve, j’éprouve un réel manque de chaleur humaine et je me colle contre maman qui est obligée d’abandonner ses tâches en cours pour me faire un gros câlin avec la langue déployée. Elle répond au quart de tour à mon excitation. Des rapports intimes avec ma mère me semblent presque naturels, comme une continuation de nos marques d’affection, pas si hors norme qu’avec mon père… Est-ce la résurgence instinctive d’anciennes peurs inconscientes de risque de maternité qui me culpabilise ainsi ou simplement l’interdit ? Nous nous serrons, nous nous frottons, le contact de la peau fraîche du corps de maman me réjouit, les pointes de ses seins qui buttent contre les miens, je sens mon corps se remplir de bonheur. La force de son étreinte me montre que le plaisir est partagé, nous sommes de même matière ! Nous restons un moment ainsi à s’enrouler la langue, faire le plein de tendresse… Et c’est papa, assoiffé par le soleil, en venant se désaltérer d’un verre d’eau fraiche qui nous surprend : — Et bien les femmes, on me néglige ! Surprise d’être mise ainsi en défaut, je lâche maman et par souci de réparer mon oubli, je me colle à lui pour refaire avec lui le même câlin. Toute heureuse que cette nouvelle culpabilité efface enfin mes scrupules qui m’en éloignaient jusqu’à présent, je plaque ma bouche contre sa bouche et lui écarte les lèvres pour trouver sa langue. ...