1. Vacances de Julie (1)


    Datte: 27/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... surprend, peut-être autant qu’elle, pourtant mon coté effronté prend le contrôle. La douceur capiteuse de sa poitrine m’hypnotise, je n’ai plus envie de lâcher mon étreinte. Je l’entraine sur un transat devant la piscine où nous continuons à nous câliner et nous lutiner avidement. J’en oublie complètement le reste de l’assistance. Juste retour pour maman qui pour cette fois a deux hommes à s’occuper. Je reste une partie de la soirée avec ma capture. Elle semble, elle aussi, enchantée de cette prise de possession. Je me vautre sur son buste avec avidité en imaginant le bonheur d’un nourrisson devant un tel garde-manger. Mais à défaut d’être un marmot, je me délecte à sucer ses bouts entourés de larges auréoles claires. De ses mains, me tenant la tête, elle me guide et m’encourage. Je me réjouis aussi à lécher cette peau douce et veloutée. Des mains qui se contractent nerveusement sur mon cuire chevelu m’indiquent l’effet de chatouille de mes caresses. Assoiffée de tendresse, j’abandonne un instant cette généreuse proéminence pour un nouveau câlin et me noyer dans ces yeux si chaleureux, si enjôleurs. Je me sens folle de passion pour cette femme, n’ayant aucun remord de l’avoir phagocytée juste ainsi à son arrivée. Elle avait peut-être des choses à échanger avec mes parents de plus urgentes. Mais cette vie hors norme m’a libérée de tous mes complexes de bien séance. J’ai une envie irraisonnée d’amour avec cette dame…. Elle semble accepter mon jeu, loin d’en être gênée, la ...
    ... passion de son étreinte m’encourage. Toujours plus dévergondée, maintenant j’étends mon champ d’investigation à toute la surface de son corps. Et presque naturellement, profitant de mes dernières expériences, je caresse et lèche son pubis voluptueux et tout aussi glabre que le mien – Ce doit être une mode chez les nudistes ! Je me délecte des replis de ses petites lèvres parfumées. Je découvre ainsi l’intimité capiteuse de ma deuxième expérience féminine, et toujours aussi effrontée, je l’entraine à s’allonger contre moi pour nous rendre réciproquement le même plaisir en position de soixante neuf. Elle semble apprécier ma pratique à juger de son plaisir qui m’inonde la bouche. De nos caresses ayant souvent l’allure de massage nous partageons la découverte des secrets de nos corps. Que j’aime son grain de peau et la douce fermeté de ses chairs bien différentes de ce que je connaissais jusqu’à présent avec maman. J’adore la tendre tiédeur de ses mains. Son parfum personnel me rend folle de passion et de plaisir. Après un bon moment de délire, rassasiée de plaisir je libère enfin ma possession. Nous émergeons au reste du groupe. Je remarque alors le mari qui nous matait. Mi excité, il se rapproche maintenant de nous. Prenant conscience de mon accaparement je propose alors à ma tendre partenaire : — Si tu veux, on lui fait goûter l’herbe fraiche… Et sans trop attendre d’autorisation je prends une main de l’homme et la pose sur ma fesse. Surpris il laisse faire et puis me fait une ...