1. Vacances de Julie (1)


    Datte: 27/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... l’impression avec cette chaude ambiance d’être complètement intégrée au monde des adultes. Fatigués par cette journée de route nous montons nous coucher. Je cramponne le bras de papa pour être sûre de retrouver notre chambre, l’esprit embrumé et l’équilibre incertain. Une fois arrivée, est-ce la fatigue ou l’alcool, qui me font oublier complètement mes principes de pudeur : je suis la première à poil, enfin si on peu dire, car ma mère m’a offert pour ces vacances un passage avec elle chez son esthéticienne, ce qui a été funeste pour tous nos poils. Sans plus de commentaires, les parents m’imitent dans ce déshabillage et dans la même promiscuité nous utilisons ensemble la salle de bain pour notre toilette du soir. L’espace exigu du lieu me vaut de donner et recevoir quelques coups de fesses ! Ce sans-gêne d’ambiance de caserne n’a rien de désagréable et se conclut avant de nous coucher par un câlin général en guise de bonne nuit. Une fois dans mon lit, je suis toute troublée de ces contacts d’autres corps, de ces frôlements de peaux… J’en suis à regretter d’être maintenant seule dans mes draps. L’idée d’avoir failli dormir avec mes parents me turlupine curieusement : Cela me choque toujours, mais aussi m’émoustille. Me reviennent aussi les mésaventures d’avec mon ex-chéri. Il avait certainement fait son éducation sexuelle sur son ordi avec des films pornos. Il voulait que je me comporte avec lui comme ces actrices présentées, capables par exemple, de faire une fellation sans ...
    ... préambule, sans tendresse préalable. Je ne supportais pas non plus, que dans nos moments les plus chauds, il me traite de chienne ou de grosse salope ! D’après lui, il parait que les femmes adorent ça. A la fin, je finissais par douter d’être une vraie femme et mes copines m’expliquaient que c’était très mode et que les garçons expriment ainsi leur virilité… Si bien que, suprême recours, j’ai questionné ma mère. Et comme elle en était encore plus choquée que moi et aussi plus expéditive dans sa réaction, conseillant que le machiste capable de tel comportement ne méritait que des claques… et ajoutant que la virilité peut aussi s’exprimer par la tendresse et que grossièreté et brutalité ne sont plutôt que des signes d’impuissance ! Je ne sais pas si ces conseils étaient judicieux mais j’ai renvoyé illico le petit chéri chez sa mère… et je me retrouve ici, seule ! Et ces regrets ne calment pas mes pensées lubriques, peut-être même le contraire… J’ai envie d’un contact tendre et chaleureux, je sens mon ventre qui s’échauffe, je dois être saoule, je commence à me caresser d’une main le pubis, du dos de l’autre, je me frotte la bouche pour ne pas faire de bruit. Des pensées horribles me traversent l’esprit : je suis coincée entre mes parents, le sexe de papa glisse entre les fesses et je m’excite en me caressant le ventre sur une fesse de maman… La fatigue aidant, j’ai du m’endormir ainsi. C’est les petites caresses et l’injonction de ma mère qui me réveillent le lendemain matin : — ...
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