Vacances de Julie (1)
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... tout cela, me contentant de réagir aux événements d’une manière instinctive, en fonction de mon humeur du moment. Perdue dans mes réflexions, maman me regarde souriante : — Mon discours te choque ! Elle me précise alors qu’il n’est pas en accord avec la morale commune et les préceptes des religions, mais me force à reconnaitre que pour ceux qui ne savent ou ne veulent pas réfléchir, il faut édicter des règles simples ; il leurs faut des gardes fous. Pour illustrer son discours, elle me donne l’exemple simple de la gourmandise qui est un défaut, un « péché » si on ne sait ou ne veut pas se limiter, mais qui devient un art si on sait apprécier avec modération les bonnes choses. Et c’est pareil pour tout ce qui est agréable dans la vie. Les paroles de maman m’assomment de bon sens mais j’ai du mal pour l’instant à en saisir une ligne de conduite générale, ainsi que de voir tous les chemins de liberté qu’elles ouvrent. Restant dans le pragmatisme de l’immédiat, sans plus réfléchir : — Maman tu accepterais que je revienne dormir avec vous ? — Oui, pourquoi pas, si tu en as envie ! Cette question m’a échappé presque qu’à mon insu. Avec cette réponse, j’ai le rouge qui me monte aux joues, ça révèle mon désir le plus secret, le fantasme que l’on ne doit pas réaliser… Une image affreuse me submerge : Celle où je me donne à papa… J’en ai la chair de poule. Consciente de mon trouble maman s’est levée et viens me faire une petite caresse en m’invitant à venir gouter l’eau de la piscine, ...
... car après, nous devons préparer le repas pour le retour du père. Je marche derrière elle comme un zombi, consciente que j’aurais aussi besoin de sa chaleureuse bienveillance, de sentir sa proximité si je veux aborder de tels moments initiatiques. L’eau chauffée par le soleil est à une température agréable, nous barbotons toutes les deux cote à cote. Nous nous immobilisons dans un endroit peu profond où nous avons pieds. Maman est près de moi, j’ai besoin de sentir sa présence et sa tendresse. C’est curieux comme parfois j’ai l’impression d’être grande, autonome, libérée, et ces envies qui me submergent de m’abandonner et redevenir la petite fille d’autrefois ! Je l’attrape dans mes bras, la serre contre moi. Sans réfléchir je lui fais un baiser sur la bouche langue déployée. Avec ses bras autour de mon cou elle renforce notre étreinte. J’ai besoin de la sentir entièrement contre moi, sentir sa poitrine contre ma poitrine, son ventre contre mon ventre, avec les jambes un peu écartées, de sentir le haut de sa cuisse contre mon sexe, de lui sentir son pubis avec ma cuisse, de nous emmêler les jambes à en perdre l’équilibre… On se serre de toutes nos forces à s’étouffer. Des idées les plus folles explosent dans ma tête « Maman je t’aime, j’ai besoin de toi, j’ai envie de toi, j’ai envie de faire l’amour avec toi, j’ai envie… » A bout de souffle nous desserrons un peu, juste pour se plonger les yeux dans les yeux. Je retrouve la sensation de bébé lorsque ma mère venait me consoler ...