1. Le cas de l'oncle Tom


    Datte: 27/09/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, grossexe, piscine, fsoumise, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, init, humour,

    Nouvelles lauréates au bac, elles savouraient leurs premiers moments de vraie détente après une année oppressante. Assises sur les fauteuils de jardin, elles discutaient de tout et de rien : le soleil, la piscine, une chaleur estivale… bref, le bonheur pour des jeunes filles insouciantes. La conversation glissa inévitablement sur le sexe. Elles se remémorèrent en pouffant le serment loufoque qu’elles avaient prononcé l’été dernier : ne pas perdre leur pucelage avant le bac pour se consacrer exclusivement à cette étape importante de leur cursus, sans surtout prendre le risque de se disperser au cours de l’année. Où en étaient-elles maintenant ? — Mon Dieu, qu’est-ce qu’on a pu être naïves… Si l’occasion s’était présentée, serment ou pas, on ne l’aurait pas laissée filer ! dit Lucile. Manon avoua alors qu’elle avait failli franchir le pas il y a peu. Elle raconta le moment inoubliable qu’elle avait vécu ici, au bord de la piscine, avec le technicien d’entretien de la pompe à chaleur. C’était il y a deux semaines, un jour où ses parents étaient absents. L’homme était allé satisfaire un besoin naturel contre un buisson proche et elle l’avait délibérément observé, par curiosité et sans doute aussi parce que ça la… picotait. Sitôt soulagé, il s’était dirigé vers elle, la verge à la main. Abasourdie par cette incongruité, mais fascinée par l’objet, elle ne broncha pas. — Il en avait une grosse ?— Oh oui, énorme ! dit Manon en écartant bien les mains à la façon des Marseillais ...
    ... décrivant une sardine célèbre. Lucile éclata de rire. — Hé, n’exagère pas : tu me montres une bite d’éléphant !— Si, si, elle était impressionnante, et il m’a demandé si j’avais pris du plaisir à me caresser en me rinçant l’œil. Il m’a proposé de toucher en vrai, puisque ça avait l’air de tant m’intéresser. Je ne sais pas pourquoi, mais ça a été plus fort que moi… j’ai saisi l’engin, et il s’est encore dilaté.— Et c’est tout ?— Non, il m’a demandé de lever ma jupe et baisser ma culotte devant lui.— Hein ? Et tu l’as fait ?— Oui, car il a ajouté que si moi j’avais pu voir, ce serait juste que lui aussi puisse voir. Il n’avait peut-être pas tort, ai-je pensé. Et puis, soyons honnête : je venais de le reluquer quand il s’est soulagé contre le buisson et je m’étais tripotée en le regardant. Tu sais, j’étais branchée à mort et j’aurais grimpé aux arbres pour m’arrêter aux nœuds.— Ben, dis donc, dit Lucile en éclatant de rire, t’as le sens des images, toi !— Et puis comment a-t-il pu voir que je m’étais caressée ? Il devait me surveiller en douce ? Et si j’y réfléchis, ce n’était pas innocent de sa part de se soulager presque sous mes yeux ; il aurait pu trouver un autre endroit, plus discret.— Mais là, t’aurais été déçue, avoue !— Oui, je l’avoue. Pour ce qui est de relever ma jupe, j’étais un peu gênée de me montrer à cet inconnu, et je l’ai soulevée juste un peu avec mon plus beau sourire. Il m’a dit de la remonter entièrement en la coinçant sous le menton. Tu vas rire : c’était comme ...
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