1. Le cas de l'oncle Tom


    Datte: 27/09/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, grossexe, piscine, fsoumise, hdomine, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation facial, Oral fdanus, fsodo, init, humour,

    ... fasse tout de suite, car de vous avoir observés m’a mis la chatte en ébullition. J’ai joui deux fois en me branlant. Tom se leva et recula sa chaise. — Viens ici ; mets-toi entièrement à poil… Là, oui, comme ça. Pousse ton pubis en avant… montre bien… T’es belle et t’es bandante. Tourne-toi vers Manon pour qu’elle voie aussi ta chatte. Maintenant, couche-toi à plat ventre sur la table avec les pieds dans le vide pour me montrer ton cul et recevoir la bite. Écarte tes fesses avec tes mains. Lucile obéit avec docilité et empressement. Tom bandait à nouveau, infatigable étalon. Il l’agrippa par les hanches et poussa son dard par petits coups pour le plonger sans difficulté entre les fesses de jeune fille dont le visage se déforma. Et Manon d’encourager, avec une joie de gamine : — Oui, encule-la, ma copine ! C’est ça que je veux voir ! Sous les assauts du pilon, Lucile, yeux exorbités, bouche grande ouverte, semblait chercher désespérément de l’air. Elle accompagnait chaque coup de reins par des râles. Manon, par empathie, vivait la chose à travers son amie. Elle se plaça devant elle et se caressa sous ses yeux jusqu’à jouir tandis que Lucile fêtait son plaisir avec le pieu de son oncle dans le fondement. ********** Tom et Manon se revirent régulièrement. Respectant invariablement les mêmes rituels à chaque fois, elle oralisait, lui répétait être une ...
    ... salope folle de minette, une salope qui veut sucer, qui veut se faire casser la chatte. Sa jeunesse et sa fraîcheur donnaient encore plus de relief à la grossièreté de ses litanies. Il lui apprit – ou plutôt lui imposa – tout ce qu’elle ne savait pas ; ignorance due à l’innocence ( ? euh…) de son âge. Il lui apprit à être rudoyée, ce qui rendait son plaisir encore plus vif, car, comme elle ne tarda pas à le découvrir, c’était dans sa nature d’être une femelle malmenée. Il ne manquait jamais de la sodomiser, toujours à plat-ventre sur cette fameuse table de cuisine devenue lieu de cul et de culte. La première fois qu’il l’encula, elle faillit mourir de peur en sentant l’engin monstrueux, mais soigneusement lubrifié pousser petit à petit sur son œillet. Cette peur fut vite balayée lorsque le membre l’occupa au plus profond d’elle. Elle plongea dans un océan de bonheur. D’être si totalement remplie, de se découvrir objet sexuel esclave de la brutalité d’un mandrin sans pitié la fit jouir du cul dans un véritable feu d’artifice ! Elle eut ainsi la révélation, toute jeune, qu’elle pouvait décupler son plaisir en se conduisant comme une nympho avide de sexe, obéissante et perverse. Et elle en était fière. Cela dura pendant presque trois ans, jusqu’à ce que Manon découvre autre chose que le sexe ; quelque chose qui lui manquait cruellement : l’amour d’un brave gars. 
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