1. Mon tendre mari


    Datte: 28/09/2018, Catégories: fh, couple, hotel, Oral fsodo, confession, amourdura,

    ... peut-être à cause de mon corps que nos relations se sont espacées ? Je ne lui plais plus autant qu’avant. Je pousse un gros soupir et me décide à l’attendre sur le fauteuil. Les minutes me semblent interminables et mon cœur bat la chamade. Est-ce que j’ai bien fait de me lancer dans cette aventure ? Ne va-t-il pas me reprocher de l’avoir trahi ? Je me torture l’esprit mais il est vraiment trop tard pour reculer, des pas se rapprochent et s’arrêtent devant la porte de la chambre. Elle ne s’est pas ouverte de suite, légère hésitation de sa part ? Elle s’entrouvre doucement et il rentre. Je peux distinguer dans la pénombre sa main qui part à la recherche de l’interrupteur. Clic-clac en vain. Mes doutes se sont envolés, je me sens prête à tout pour que cette soirée soit à jamais gravée dans nos mémoires. Je me lève du fauteuil pour le rejoindre. Je tends une main pour le toucher, il est tendu comme un arc. — Qui êtes-vous ? me demande-t-il. Je ne réponds pas sachant que le son de ma voix va me trahir. Je suis à présent derrière lui et je l’entoure de mes bras. Je le serre à l’étouffer. Je m’enivre de son odeur, je l’aime. Thomas ne se détend toujours pas. Il ne bouge pas mais ne se dérobe pas non plus. Je laisse courir mes mains sur son torse et gagne du terrain en direction de l’ouverture de son jean à la recherche des boutons. Un à un, je les fais sauter ; le pantalon gît à ses pieds. Je ne cesse de lui baiser les parties de son corps qui sont à ma portée. Je m’applique ...
    ... maintenant à lui ôter son pull, opération bien délicate quand on est petite et que le monsieur n’est pas coopératif. — Que faites-vous ? me demande-t-il dans un souffle. Mais voyons mon amour, je te déshabille, tu ne t’en rends pas compte ? Il n’a plus pour tenue que son boxer, il a vraiment un corps magnifique. Je continue mon exploration avec mes lèvres et tente une approche en direction de son entrejambe. Léger recul quand j’effleure son sexe de la paume de la main. — Non, je ne peux pas faire ça, je suis marié. Un bon point pour toi mon chéri, mais pourquoi tu es là alors ? Je laisse de côté sa rebuffade et le dirige vers le lit sur lequel est posé le foulard. Je vais devoir le contraindre en l’attachant. La partie va être difficile. J’essaie tant bien que mal de lui nouer les poignets. — Qu’est ce que vous faites ? Non, je ne peux pas… Je réussis à passer une main. — Non ! ordonne-t-il. Il se libère. Mon plan tombe à l’eau je ne peux pas le forcer, je suis vraiment moins forte que lui. Tant pis. Je me décide à parler. — Chuuut, mon amour, laisse-toi faire. Il se dégage brusquement. — Mais que fais-tu là ?— Ne dis rien maintenant, laisse-toi faire, je t’en prie. Je sens que je vais passer un sale quart d’heure plus tard, autant profiter d’un moment de répit. Il se détend et j’en profite pour lui ôter son boxer. — Je veux que tu te souviennes de cette nuit à tout jamais, je t’aime. Ma bouche va à la rencontre de son torse et ma langue laisse des traînées de salive sur son chemin. ...