Un parfum de victoire sur la Grande Boucle...
Datte: 28/09/2018,
Catégories:
ffh,
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Série estivale, de portraits, de cartes postales, piqués sur les plages de France et quelques lieux de villégiature estivale.Portraits de femmes et d’hommes à qui, sous prétexte que c’est l’été et qu’ils sont en vacances, tout semble être permis… L’été, propice à toutes les rencontres, toutes les opportunités, toutes les excentricités ?Bon nombre d’entre nous en ont entendu parler, mais très peu les vivent.Jamais là au bon moment, au bon endroit !Et vous découvrez, souvent après coup, que vous êtes passés à côté de ce qu’il fallait voir, car vous n’en étiez pas loin…Et cela pourrait presque venir gâcher vos vacances !Enfin… leurs souvenirs. Alors, pour vous éviter de rentrer moroses, je vous propose quelques portraits, piqués sur le vif, sur les plages, dans quelques stations balnéaires de nos côtes ou dans quelques lieux touristiques que vous avez peut-être fréquentés…Adaptez-les à vos souvenirs et faites-les vôtres…Ils sont à vous. Un parfum de victoire sur la Grande Boucle… Le Barnum de la Grande Boucle… vous le décrire n’est pas dans mes propos. Généralement vous êtes spectateurs, assis dans votre fauteuil ou vautré sur votre canapé en amateur de vélo que vous êtes, et passez des après-midis entières à contempler les efforts de ces sportifs qui suent sang et eau pour votre plaisir. Quelquefois, avec plus de chance, vous êtes sur le bord d’une route, attendant durant des heures, sous un soleil de plomb ou dans le vent glacial d’un col, le trop rapide passage des échappés ...
... (s’il y en a) et du peloton qui file à vive allure. Mais avant de voir passer les « forçats de la route » qui filent bon train, vous avez espéré et subi la caravane publicitaire qui vous a cassé les oreilles et inondé de gadgets en tout genre. Tard dans la nuit, tôt le matin, par d’autres chemins, s’est allongée sur la route du Tour de France une autre caravane, celle de l’organisation et des montages de l’aire d’arrivée, du village, du podium… plusieurs dizaines de camions, voitures, fourgons et des centaines d’hommes et de femmes, qui tirent des kilomètres de câbles, alignent des kilomètres de barrières, déplient des mètres et des mètres carrés de toiles qu’il faut monter, installer, sécuriser, puis démonter, replier, charger et transporter pour le départ et l’arrivée suivante. C’est aussi ça, le Barnum du Tour de France. Quelques heures après mon aventure parisienne, je débarque donc à Grenoble d’où, le lendemain, doit partir le Tour de France pour Courchevel. Mon ami parisien, pour se faire pardonner de m’avoir implicitement fait jouer la chèvre, s’est bien rattrapé. Une voiture de l’organisation m’attend et m’amène dans un hôtel chic du centre-ville. Au matin, le chauffeur vient me chercher et muni de mes accréditations, il me dépose dans le parc des VIP au sein même du village des partenaires (entendez par là, ceux qui financent la Grande Boucle). Là, au milieu des préparatifs du départ, la fourmilière de cette énorme organisation, grouille, crie, rit, s’embrasse, se ...