1. Un parfum de victoire sur la Grande Boucle...


    Datte: 28/09/2018, Catégories: ffh, inconnu, vacances, sport, collection, odeurs, Masturbation Oral pénétratio, init,

    ... trois. Armelle s’installe au volant, ouvre largement sa fenêtre, le toit ouvrant. Annabelle se glisse à l’arrière et m’ouvre la porte à côté d’elle. Dans le véhicule, un chaos presque indescriptible ! Sur le plancher, à l’arrière, sur les sièges des centaines d’objets publicitaires, porte-clés, casquettes, bidons, tracts, autocollants… — On les distribue au fur et à mesure, m’explique Armelle. Si cela vous dit, vous pouvez en distribuer, vous aussi… Soyez généreux ! Et nerveusement, Armelle s’insère dans la file de voitures publicitaires. En experte, conduisant d’une seule main, elle distribue ses objets, les jetant plus qu’elle ne les donne, comme Annabelle puis moi-même qui me prends au jeu du père Noël au mois de juillet. Il nous faut presque trois heures pour rejoindre Courchevel, fendre la foule qui s’accumule aux cols, s’amasse à l’arrivée. Après avoir suivi les fléchages, elles garent la voiture dans un coin du parking, s’emparent de plusieurs sacs, sagement en attente dans le coffre. La voiture est laissée ouverte pour permettre son remplissage pour demain. Et je leur emboîte le pas, sur leur recommandation : — Surtout, vous nous collez, car autrement, vous allez vous perdre et vous aurez un mal fou à nous rejoindre dans l’enceinte réservée du Podium d’arrivée. Une fois de plus nous fendons la foule, dense et braillarde qui attend avec impatience l’arrivée, prévue dans moins de trois heures, sous les commentaires nasillards du speaker qui officie depuis la ligne ...
    ... d’arrivée et fait patienter la foule en la tenant en haleine. Après avoir montré patte blanche à divers contrôles, nous pénétrons dans une petite caravane sans fenêtre, attenante au podium érigé depuis peu de temps et pour quelques heures seulement ; les deux filles branchent, en sourdine, Radio Tour et s’écroulent sur les banquettes. — Et maintenant, que fait-on ? demandé-je.— Ben, on attend, répond avec un air malicieux Armelle, la brune.— Moi, dit Annabelle, je vais prendre une douche… Je la contemple, un peu ahuri… car en joignant le geste à la parole, elle se déshabille et se dirige vers un des coins du petit habitacle où une cabine de douche est installé – je ne l’avais même pas remarquée à mon entrée. Annabelle est une vraie blonde. Son corps sculptural, qu’elle me promène sous les yeux, est presque parfait. En tenue d’Eve, elle est un appel au sexe, mais son naturel pour l’instant me désarme. Juste peut-être a-t-elle un postérieur un peu volumineux, mais le ventre, légèrement bombé, les seins bien accrochés avec ses petits tétons pointus et effrontés qui les remontent en virgules, le fuselé des jambes, immenses, une toison pubienne courte, frisée et presque blanche qui laisse voir une vulve rose d’où pend une lèvre un peu brune… De grosses gouttes de sueur me montent au front, une bouffée de chaleur envahit mon corps. J’ai aussi l’impression que mes yeux vont sortir de mes orbites… Armelle, à qui je jette un œil, me contemple avec un petit sourire, plein de sous-entendus. ...
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