Chroniques immortelles (19)
Datte: 29/09/2018,
Catégories:
Divers,
... vais t’attacher les jambes pour t’empêcher de les serrer, tu veux ? — Oui, ce que tu veux, dépêche toi ! Il a sorti je ne sais d’où des bracelets de cuirs sur lesquels sont fixés des anneaux. Il enserre mes chevilles, puis y accroche une barre métallique avec des mousquetons. Ainsi appareillée, j’ai les jambes largement écartées. Et il reprend ses infernales caresses. Le plaisir revient à toute allure, je jouis, encore et encore et encore. Ça devient insoutenable, au point que j’essaie de repousser sa main avec les miennes. Et il s’en irrite . — Décidément, tu es incorrigible. Il faut prendre des mesures radicales. Je t’attache, d’accord ? — Oui putain, dis-je haletante, fais de moi ce que tu veux ! Je porte à présent des bracelets au poignet. Il vient y fixer des cordes accrochées sur deux murs opposés et les raidit. Je suis debout les bras en croix, jambes écartées, haletante, le suppliant de recommencer au plus tôt ses caresses infernales ! — Ça vient Christine, çà vient, dit-il en souriant. Tu en garderas un souvenir inoubliable… Tu sais ce que j’aime le plus dans la vie ? C’est voir le visage d’une femme en train de jouir. C’est magnifique… Il m’a passé une ceinture autour de la taille et s’en sert comme support pour me fixer un petit objet au contact de ma chatte. Un œuf vibrant ! Et immédiatement je repars dans un délire de sensations. Je jouis en continu... Il n’y a pas de mots pour décrire l’intensité du plaisir, à la limite de la souffrance ! Il y a longtemps que ...
... j’aurai du tourner de l’œil, mais là je bascule dans l’irréel, je ne vois plus vraiment la réalité. Tout se brouille, tout se mêle, ce que j’ai vécu, connu, tout ce qui me reste à vivre ? Lucien me regarde me tordre dans tous les sens, sourit quand je crie, laisse courir ses mains sur mon corps. Il s’attarde sur mes seins, les malaxe. Dans un moment de clairvoyance je le vois avec en main deux espèces de pièces métalliques, comme des crocs de boucher… — Qu’est-ce que… tu veux… faire avec çà ? — Je vais te suspendre par les seins. N’aie crainte, tu ne sentiras presque rien… OK ? — Oui ! OK, vas-y, suspend moi, fais moi jouir encore, bordel ! J’ai complètement perdu la tète, perdu le sens des réalités. Et je n’ai rien vu ni senti venir. Les crocs sont acérés comme des hameçons… Il m’enfonce brusquement le premier sous un sein. Tétanisée, je sens la pièce de métal traverser mes chairs, la peau du dessus se soulever sous l’effet de la pression et la pointe percer brusquement ! Mon autre sein est traité pareillement. Il y avait un anneau aussi au plafond… Deux cordes en descendent qu’il fixe par un anneau des crocs. Et je suis comme une folle, dans mon délire, excitée comme jamais plus je ne le serai, dévastée par les sensations générées par ce diabolique petit œuf qui continue à vibrer contre monentrejambe. Et puis il actionne un treuil. Les cordes se raidissent, mes seins s’étirent, la peau se distend, je suis tirée vers le haut, mes pieds perdent le contact avec le sol. Et je ...