1. Nadine, la vengeance d'une maman (28)


    Datte: 30/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Comme Alexandre n’était pas à la paillotte, je suis allé chez lui, laissant Maman en tête à tête avec son thé glacé. Il m’a ouvert la porte, a sourcillé. — Salut mec, t’es tout seul ? Elle est où ta mère ? Il n’essayait même pas de dissimuler qu’il n’en avait plus rien à cirer de moi, que seule Maman l’intéressait désormais. Il était si brut de décoffrage, manquait tellement de tact qu’il m’a irrité. — Elle se sentait pas bien, elle n’est pas venue. — C’est vrai ? Quel dommage ! J’arrête pas de penser à elle. — Tu veux qu’on aille se baigner ? — Non mec, je suis crevé, je vais rester chez moi. — Je te charriais ducon, elle nous attend… mais repose-toi, hein, puisque tu es si fatigué. Son visage s’est éclairé. — Tu rigoles ? Ça change tout ! Si elle est là, bien sûr que je viens ! J’ai déjà loué les talents de comédienne de Maman, mais la performance qu’elle a réalisée ce jour-là méritait une récompense. Il ne lui a pas fallu longtemps pour prendre mesure d’Alexandre, et adapter son comportement en fonction. Et vas-y que je rougis comme une vraie pucelle effarouchée quand il me fait des compliments, que je minaude, que je baisse pudiquement les yeux par ci. Vas-y que je frétille de la croupe quand je marche devant, que je bombe le torse pour faire saillir mes nichons sous son nez à la moindre occasion par là. Elle alternait, soufflait le chaud et le froid avec un art consommé. J’étais béat d’admiration. Alexandre était comme un fou, la suivait partout comme un gentil toutou. ...
    ... A un moment, ils sont allés se baigner, et mon cœur a saigné en voyant Maman rire aux éclats à ses plaisanteries. Elle buvait ses paroles, suspendue à ses lèvres, n’avait d’yeux que pour lui. Elle était douée à ce petit jeu, j’étais bien placé pour le savoir. J’avais beau me dire que j’étais responsable de la situation, je n’en étais pas moins abominablement jaloux. Quand ils sont sortis de l’eau, elle l’a envoyé lui chercher une boisson. J’ai compris qu’elle voulait qu’il s’éloigne pour me parler. — Il est charmant ton copain, et il n’a pas froid aux yeux… il me fait un de ces rentre-dedans ! Tu es sûr que c’est ce que tu veux ? - Et toi, alors ? On dirait que ça ne te déplait pas, que tu apprécies tout autant. — C’est toujours flatteur de se sentir désirée, mais tu n’as qu’un mot à dire et je le remets à sa place. — Surtout pas, Maman, ne change rien, tu es éblouissante. Ils sont retournés se baigner, se sont charmés, m’ont superbement ignoré. Quand j’en ai eu assez, je lui ai proposé de rentrer ; elle ne s’est pas faite prier. Avant de nous quitter, Alexandre l’a embrassée sur les joues, en s’attardant un peu trop à mon gout. — Votre fils est un vrai cachottier, Nadia, il m’avait caché qu’il avait une aussi délicieuse maman… On se dit à demain ? — Avec plaisir… enfin, si Maxime veut bien. — Pas de problème, nous serons là… rendez-vous-même heure même endroit. Dans la voiture, j’étais renfrogné, elle s’en est vite aperçue. — Qu’est-ce que tu as, Maxime, pourquoi fais-tu la ...
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