1. Nadine, la vengeance d'une maman (28)


    Datte: 30/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... qu’elle prenait son rôle un peu trop à cœur. Elle s’est levée, s’est débarrassée de sa nuisette en marchant vers moi ; j’ai rabattu mon short sur mes chevilles, l’ai attendue assis droit comme un i sur mon fauteuil, la queue dressée. Elle est venue s’empaler dessus en gémissant de bonheur. Elle m’a chevauché, a incliné son buste pour m’offrir sa poitrine nue ; je lui ai sucé le bout des seins, l’ai tirée par le cul pour m’enfoncer plus loin dans son vagin. Nous avons baisé longtemps. Fougueusement. Passionnément. Après, elle est restée sur moi, en nage, toute ramollie dans mes bras, tremblante d’extase. Mon sexe était toujours en elle, ma langue tournait dans sa bouche quand je me suis levé ; je l’ai soulevée par les fesses pour la porter jusqu’au canapé, l’ai allongée dedans. Tout son corps frissonnait, des spasmes de plaisir incontrôlables l’agitait sans cesse. J’ai lissé ses cheveux, l’ai couverte de baisers. J’ai attendu qu’elle se calme, qu’elle s’assoupisse, et puis je suis allé me coucher. J’avais besoin de récupérer. J’ai dormi d’un sommeil de plomb. Le lendemain, Alexandre a recommencé son petit numéro. Il n’a pas lâché Maman d’une semelle. Il était si entreprenant que j’ai dû calmer ses ardeurs. Je me suis emporté et il s’est froissé, alors je lui ai fait part du plan que j’avais élaboré. Il m’a écouté avec attention, m’a demandé des précisions. Nous avons même échangé nos numéros, afin que je l’appelle en cas d’imprévu. Il était déterminé, et ça me réjouissait ...
    ... d’autant plus que j’avais volontairement omis de mentionner la partie la plus importante. Celle qui ne le regardait pas, celle où il était question de ma présence aux réjouissances. Nous nous sommes quittés bons amis. Pour accueillir son hôte, Maman s’était habillée très sagement, et elle portait des sous-vêtements. Je ne voulais pas qu’elle soit trop provocante, au point qu’il s’imagine que la partie était gagnée d’avance. Elle était ravissante dans sa petite robe de cotonnade, paraissait si innocente qu’on lui aurait volontiers donné le bon Dieu sans confession. — Tu crois qu’il va venir ? Elle faisait les cent pas, se rongeait les sangs. — Il ne va pas tarder… il est persuadé qu’il sera seul avec toi, il ne pourra pas résister. — Je ne sais plus, Maxime, j’ai peur, ça va trop loin tout ça… on devrait tout arrêter, tu ne crois pas ? — Ecoute… tu entends ? Quand on parle du loup… — On a sonné ? Oh mon Dieu, ça doit être lui. — Tout va bien se passer, Maman, aie un peu confiance en toi. — Dis-lui de partir, mon chéri… on restera tous les deux, rien que toi et moi… Tu pourras me faire tout ce que tu veux ! — Il est trop tard pour reculer… tu ne peux plus te défiler. Elle m’a imploré du regard, mais je lui ai ordonné d’aller ouvrir la porte ; elle a tapé du pied en rouspétant, mais elle s’est pourtant exécutée. — Bonjour Nadia, vous allez bien ? — Salut Alex, qu’est-ce que tu fais là ? — J’ai rendez-vous avec Maxime. — Tu es sûr ? — Ben oui, on doit aller au ciné. — Il a dû ...