1. Bourgeoise remplie au sperme (5)


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    - Jean ? - Ouais ! Salut Florian! Tu fais quoi là ? - Là, j’suis chez ta bourge. T’es libre ? J’ai un super plan ! Il y avait trois jours que je n’avais eu de nouvelles ni de l’un ni de l’autre. - Ben, en fait j’ai du taf. - Un super plan boules. Elle va encore s’en prendre dans tous les trous. - C’est cool, mais t’as pas forcément besoin de moi. - Si, pour ramener la voiture. - Faut que tu m’expliques là ! - On est dans la cour, on t’attend ! Intrigué et, il faut le dire, motivé par l’envie de tirer un coup, je descendis quatre à quatre. Florian était assis à l’arrière avec ma logeuse que je saluai. Elle ne me répondit pas. Florian la réprmanda vivement. - Tu fais encore ta fière ma chérie, tiens, pour la peine suce -moi. Et je le vis, dans le rétroviseur, prendre la salope par le cou et la faire basculer vers sa braguette. - Roule, Jean, j’te guide, c’est pas loin. - Bon c’est quoi ton plan ? - J’peux pas te dire, elle sait pas, mais elle va y passer la nuit. Moi, il faut que je sois rentré à 23 H 00. Donc il faut que tu me ramènes, à moins que tu passes la nuit là-bas.... comme elle. Marie-clotilde sortit de son silence. - Ah bon, je reste toute la nuit ? - J’te l’avais dit ma p’tite chérie. J’ai promis à mes potes. Et ça fait partie de nos conventions. - Bon, bon... - Allez, maintenant ne cause plus et reprends ma bite dans ta petite bouche de pute. Nous roulâmes vers le sud, vers Trélazé. Florian me fit stationner et nous laissâmes la princesse seule dans la voiture. A ...
    ... travers les fourés épais, nous gagnâmes une friche industrielle. C’était un vieil hangar, à moitié défoncé avec un local, une petite maisonnette qui devait servir à un contremaître ou quelque chose comme cela autrefois. Un jeune type vint à notre rencontre. - Salut, t’a amené la meuf ? - Ouais. Elle est dans la bagnole. Tiens, c’est mon pote Jean. Il va ramener la caisse. - Salut. Moi c’est Vincent. - Salut. Il n’y avait pas de doute, j’étais dans un squat. Le jeune mec qui me parlait pouvait avoir à peu près vingt-cinq ans. Il était plutôt petit, portait un débardeur kaki et un sarouel. Le débardeur laissait apparaître un corps superbement dessiné et bruni par le soleil et la vie au grand air. Il avait un beau visage avec barbe et moustache irrégulières et des cheveux en dreadlocks. Il ne semblait pas qu’il fût de la plus grande propreté. Il siffla. D’autres mecs sortirent du hangar. Au total, ils étaient neufs, entre vingt et trente ans. Les looks différaient, du crâne rasé à la crête, imberbe ou pas, en T-shirt ou marcel, en short, bermuda ou autres, tous un air de mauvais garçon et tous la même hygiène négligée. Un se distinguait pourtant, le dernier à sortir du hangar. Il était grand, crâne rasé, mince mais sculpté et surtout, à l’exception de rangers et chaussettes qu’il portait, il était entièrement nu. Un sexe gros et long, avec une paire de couilles très pendante dans une toison d’un blond tirant sur le roux, se balançait, majestueux, à la mesure de son pas très lent. ...
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