1. Bourgeoise remplie au sperme (5)


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... - Eh, Vince, c’est tes potes ? Elle est où la meuf ? - T’inquiète c’est réglo. Vincent fit les présentations à toute la troupe dans laquelle je me sentais assez peu à l’aise. Vus de près, les types dégoulinaient de sueur. Il faut dire qu’il faisait très chaud, comme en plein été et qu’il n’y avait pas un souffle de vent. Florian fut donc chercher ma propriétaire pendant que je suivais les mecs à l’intérieur du hangar. Malgré les tôles qui manquaient au toit et des pans de murs éventrés, l’atmosphère y était très lourde. Des chiens se promenaient çà et là qui ne firent aucunement attention à moi. Dans un coin, de vieux matelas étaient posés au sol, récupérés dans une déchetterie sans doute. Ils étaient dégueulasses. Des canettes de bière et autres bouteilles d’alcool vides jonchaient le sol. Pendant les minutes où Florian me laissa seul avec ces nouveaux compagnons, ils eurent le temps de me dire que leurs occasions de baiser étaient rares puisque, malheureusement, il n’y avait pas de fille dans leur groupe. Ils m’interrogèrent aussi sur Marie-Clotilde : - Tu l’as niquée ? - Elle est bonne ? - Ils sont comment ses nichons ? - Elle suce ? - Elle avale ? - On peut la prendre dans le cul? - Quel âge elle a ? - Paraît que c’est une bourge? - J’aime bien les putes qui couine, elle gueule bien ? - Vous l’avez déjà prise à plusieurs, sérieux ? Je répondis à toutes ces questions le plus simplement du monde et fit naître un énervement palpable, ne serait-ce qu’auprès de Lucas, le ...
    ... grand mec à poil, donc la trique s’allongeait démesurément et qui commençait déjà à se pignoler. - Eh Lucas, t’excite pas déjà. Tu vas jouir avant qu’elle arrive. - Tranquille Emile, y’a tellement longtemps que je m’suis pas vidé les burnes que j’vais te la défoncer toute la soirée. - Longtemps longtemps... tu t’es encore tiré une branlette ce matin. - C’est pas pareil qu’une meuf. - Eh, les vl’a ! En effet, Florian et sa captive approchaient. Je n’avais pas encore fait attention à sa toilette mais je vis que tout avait été soigneusement choisi pour qu’elle ait l’air de ressembler à ce qu’elle était, une bourgeoise. Elle était encore plus stricte que d’habitude. En tailleur toujours, le chignon serré et parfaitement ajusté, un chemisier blanc, des bijoux, les collants et les chaussures à talons, sans oublier un maquillage impeccable qui soulignait le contour délicat de ses lèvres, ni trop minces ni trop épaisses, et la noirceur de son regard. A peine était-elle entrée difficilement dans le hangar, ses talons s’accommodant mal des gravats, que Lucas se précipita sur elle - Laissez-la moi, laissez-la moi! - Ta gueule l’obsédé, il y en aura pour tout le monde. Mais, déjà, il était dessus, plongeant une main entre les cuisses. Il fut d’ailleurs rejoint aussitôt par la meute. Avec neuf mâles surexcités autour d’elle, il me fut impossible de rien voir. J’entendis les cris, les exclamations et les explosions de contentement des compères qui étaient vraiment à la fête. J’entendis le ...