1. L'ascenseur


    Datte: 01/10/2018, Catégories: fh, voisins, ascenseur, Oral pénétratio,

    ... déformer. Il bande, pense-t-elle. Elle frémit et cela ne passe pas inaperçu dans ses yeux. Le bras toujours tendu a oublié les clés par terre. Comme pour s’assurer qu’elle participe bien à l’érection qui s’affirme à quelques centimètres de son visage elle écarte les genoux davantage. L’extrémité de la jupe descend sur les cuisses, l’homme aperçoit un morceau de tissu. Elle constate qu’il bande plus fort, elle sourit. C’est en mon hommage se dit-elle, elle est heureuse de plaire et s’excite à l’idée d’exciter son compagnon d’ascenseur. Elle pense aux clés de chez elle par terre, c’est idiot ; il faut faire quelque chose maintenant. Sans cesser de regarder l’homme son bras se met en mouvement, les doigts remuent au bout de sa main, se posent sur le sexe de son voisin. Ils caressent le tissu de velours côtelé. Les stries, pense-t-elle, doivent avec la caresse procurer des sensations particulières. Elle prolonge sa caresse, lente, allant et venant sur le sexe couvert. Sa main monte et descend le long du sexe. Ils se regardent. Ils n’ont pas cessé. Ses doigts s’articulent ; c’est qu’elle veut faire fonctionner ses ongles — avec les ongles sur les côtes du velours la fille se dit que ça doit créer des vibrations et que si le bout de l’ongle saisit une côte et qu’il la lâche cela doit faire vibrer toute la longueur du sexe. Et cela à chaque strie, à chaque côte. À chaque côte des vibrations qui le tendent encore, le font devenir plus dur — chaque doigt, chaque ongle, et chaque ...
    ... ongle sur chaque côte, et les frémissements s’étendent sue le sexe et dans tout son bras. Elle se caresse de l’autre main. Les doigts sur sa culotte, bas vers l’anus, aux alentours du clitoris. Deux de ses doigts excitent sa vulve à travers le tissu. Les dernières phalanges le frôlent. Elle pense à la trame du tissu, plus fine que les côtes de velours, et qui semblent procurer des sensations identiques. Elle passe les doigts sous sa culotte, se caresse, et amène ses doigts mouillés vers ses orteils. Elle les caresse un à un en regardant l’homme encore. Le vernis sur ses ongles brille davantage. La queue est dure et elle la caresse avec toute la main maintenant et avec la paume. Entre la base de la main et le bout du poignet elle insiste et appuie sur la queue, va-et-vient lentement, puis ses ongles reprennent le relais. L’homme est comme fou de cette caresse. Il râle et le murmure de contentement donne des forces à la femme. Elle descend la fermeture et le sexe apparaît : elle le happe immédiatement. Pose sa bouche autour du gland, salive pour lui transmettre sa propre chaleur. Il semble grossir encore dans sa bouche — c’est énorme, pense-t-elle. Elle a envie de cette queue, de ce type, elle voudrait baiser, maintenant. Elle lui dit : « J’aimerais vous sentir en moi, j’ai envie de baiser avec vous, J’ai envie de votre queue en moi. » Et elle le regarde, le gland sur la joue, elle sourit, on dirait une sainte. Il baisse son pantalon alors, ne se souciant plus de la femme presque. ...
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