Ma drole de famille (14) - Histoires de Sexe

Ma drole de famille (14)

... continuant de se vider en moi, ce qui entretient ma jouissance. Il finit par descendre de mon dos, mais ne réussit pas tout de suite à se dégager jusqu’au moment où je le libère. Il se retourne et me lèche la vulve jusqu’à l’anus. Cette langue douce fait monter en moi une onde qui traverse mon corps, je le laisse faire et me concentre sur elle pour en tirer le maximum de plaisir. Doucement le plaisir monte, je reste la tête par terre sur mes bras repliés, les yeux fermés à savourer l’instant. Cela dure d’autant plus qu’au fur et à mesure qu’il me nettoie, je sécrète encore plus de cyprine, et il a l’air d’aimer ça le bougre. Je finis par jouir de nouveau et m’écrouler au sol, vaincue par la fatigue. Hector tente de continuer, mais voyant qu’il a des difficultés, je me mets sur le dos les jambes grandes ouvertes. Il comprend et se jette sur ma vulve pour continuer de la lécher. Ce jeu dure plus d’une heure durant laquelle, je jouis trois fois, c’est lui qui abandonne pour aller se lécher la bite dans un coin. Je réussi à me lever péniblement, il est cinq heures et je vais m’allonger une heure avant de rejoindre Elisa et Henri. J’arrive vers dix-huit heures chez Elisa et me précipite sous la douche pour une toilette complète devant comme derrière. J’ai enfilé ma robe blanche sans rien dessous et des escarpins blancs eux aussi, j’espère que c’est pour ce soir. Cette séance avec Hector m’a un peu fatigué, mais surtout excité, je sens que ce soir je peux partir en un éclair. Je ...

... redescends vers dix-neuf heures au salon, il n’y a qu’Elisa et Henri. Elisa s’est changée entre-temps et porte une superbe robe très moulante fendue sur le côté à l’asiatique avec un décolleté plongeant sur sa poitrine nue. A voir sa robe, je devine qu’elle est nue dessous. Henri est en chemisette manches courtes et bermuda bariolé. Ils discutent à voix basse collés l’un à l’autre comme des conspirateurs, ils n’ont pas l’air tout à fait d’accord, mon arrivée interrompt leur conversation. –Ou sont les enfants ? –C’est un vendredi spécial, c’est la fin des cours pour tout le monde, Michel est chez un ami jusqu’à demain, et les filles sont chez Brigitte pour faire la fête, elles ne rentrent que demain en fin de matinée toutes les trois. –Nous ne sommes que tous les trois ? –Oui, pour la soirée, tu ne vois pas Alexandre ce soir ? –Il est bloqué par son boulot, il ne rentre que vers vingt-deux heures, il me téléphone quand il quitte son chantier, si ce n’est pas trop tard, il passera me prendre. –Ok, j’espère que nous allons enfin faire sa connaissance. –J’espère. En moi-même, je pense que cette soirée ne va pas être triste, j’ai une envie folle de sexe, cette fin de matinée et ce début d’après-midi m’ont donné faim, je suis comme une pile électrique qui ne demande qu’à être branchée. Elisa sert l’apéritif. J’attends qu’Henri s’installe pour m’assoir devant lui, ce faisant, je m’arrange pour que la robe remonte un peu et découvre le plus possible de mes jambes. Elles sont dénudées ...