1. Les délices de Constance.


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Anal Hardcore, Partouze / Groupe

    Je continuais à voir Constance presque chaque fin de semaine après notre cours de théâtre au lyçée. Les semaines , les mois passaient et à chaque vendredi soir chacun apprenait de l'autre sexuellement. Je savais par exemple qu'elle n'aimait pas du tout que je lui claque les fesses pendant que je la prenais en levrette, ou mes poils sur les couilles qu'elle rasait consciencieusement avant la baise. De son côté elle savait que me faire lècher les pieds me laissait de marbre ou que je n'appréçiais pas particulièrement de me faire pincer les tétons. Le corps de l'autre nous apparaissait plus familier et chacun connaissait les préférences de son partenaire. Dans le même temps l'on poursuivait respectivement des relations amoureuses. Constance avait finit par cèder aux avances d'un camarade de classe avec qui elle était souvent fourrée, un benêt un peu grassouillet et maladroit qui vivait là sa première expérience avec une fille. De mon côté j'essayais de m'amouracher d'une fille trés jolie mais aussi très crispante; chaque baiser était un combat. Ce que je trouvais fort c'était comment Constance parvenait à concilier autant d'aventures à la fois -je n'y parvenais pas moi avec ma jolie petite poupée et du reste notre histoire finit très vite en eau de boudin- elle s'affichait avec son grassouillet mais était toujours avec ce chirurgien jaloux qui parfois passait la voir à la sortie du lyçée. Celui-là justement Constance m'en parla un soir suite à notre séance de coït hebdomadaire ...
    ... ,elle s'inquiétait. -Je le vois de plus en plus régulièrement sur mon lieu de travail, tu sais, ce marché de légumes le samedi après-midi et bien maintenant je le vois à chaque fois. J'ai bien peur qu'il me suive. -Il ne nous a jamais suivi jusqu'içi que je sache. -Le studio lui appartient. Il me le loue à un prix dérisoire. Tout ça je le savais, nous en avions déjà parlé à plusieurs reprises, la situation commençait à m'agacer sérieusement. -Et comment on fera le jour où il nous trouvera içi?. -j'en sais rien. Je saurais pas où aller si jamais il me virait du studio... -Tu vivrais chez moi en attendant que les choses s'améliorent. En fait, ayant dis ça ce n'était pas une super idée. Je ne voyais pas du tout Constance loger chez mon père. Cela devait rester MON histoire, NOTRE histoire... -Il vaut mieux que je lui parle face à face. Déjà qu'il ne supporte pas l'idée que je sorte avec Florian au lyçée... Florian était le benêt grassouillet décrit plus haut. -Tu sais que lui et sa femme font chambre à part maintenant?. Il dort sur le canapé. -Et alors, qu'est ce que ça peut me faire?. C'est son affaire après tout. -Quoi qu'il en soit je lui parlerai de notre relation. -Super... Au fait. Et ton chauffeur de bus ?... -Oh lui?!. C'est terminé. La seconde d'après je lui saisissais le menton pour l'embrasser. Nos corps s'enroulèrent dans les draps et ce fut un nouveau champ de bataille. Quelques jours après je fumais dans la cour du lyçée avec quelques copains quand je vis passer ...
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