1. Les délices de Constance.


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Anal Hardcore, Partouze / Groupe

    ... Constance. Nos regards se croisèrent, je compris qu'elle avait quelque chose à me dire. Je terminais tranquillement ma cigarette puis allais discrètement la rejoindre dans le hall du bâtiment principal. -Ca y est, je lui ai dis. Pour nous. -Super. Elle hésita une seconde. -Il voudrait... te rencontrer. -Moi?. Mais j'ai rien à lui dire à ce type. -...il voudrait que ce soit demain ,à la sortie des cours... Je protestais mais elle me fit comprendre qu'il ne lui laissait pas le choix. Le lendemain à la sortie du lyçée je voyais Constance en pleine discussion avec Florian, le pauvre affichait une mine de chien battu, il faisait vraiment de la peine à voir. Je marchais deux rues plus loin, Constance me rejoignit. -Qu'est ce que tu lui as dis à ton chevalier servant?. Il avait l'air au bord des larmes... -Ne sois pas méchant s'il te plait, je viens de lui dire que c'était fini entre nous. -Il ne l'a pas très bien pris. -J'en suis désolée mais il fallait que je fasse quelque chose. La situation est assez compliquée et du reste il ne se passait rien entre nous. -Tu veux dire qu'il ne t'as jamais touché ?... -Rien d'autre que des bisous, tu comprends que j'avais envie de passer à autre chose. A ce moment une berline allemande de couleur noire s'arrêta à notre niveau. Une vitre tintée s'abaissa. -Vous deux. Montez dans la voiture. Sans se formaliser du manque de politesse Constance s'installa à l'arrière de la voiture. Après une hésitation je fis de même et le véhicule repartit ...
    ... promptement avec un bruit de moteur étouffé. D'ailleurs l'étouffement c'était bien la sensation qui me convenait le mieux à ce moment-là. Dehors nous traversions les quartiers de la capitales, nombres d'arbres étaient en fleurs et tout vert en ce début de printemps ,j'aurais voulu ouvrir la portière et sauter en marche. Respirer un bon coup. Le type au volant avaient les cheveux noirs plaqués en arrière par le gel et qui lui retombaient sur la nuque. Il portait une chemise rose clair et du rétroviseur je croisais son regard. Il avait le regard dur et sec comme son visage décomposé de multiples angles droits. Il ressemblait à un amérindien. -Tu as dis à ton ami où je vous emmène ?. -Il le saura bien assez tôt. C'est une surprise. Je me tournais vers Constance. Qu'est ce que ça voulait dire?. Elle me jeta un regard puis posa une main sur ma cuisse. Encore un quart d'heure comme ça et nous arrivions dans une banlieue limitrophe à l'ouest de la capitale pour nous arrêter devant un immeuble haussmanien dont la façade semblait avoir été rafraichie récemment. Tout le monde descendit et nous pénétrions dans une hall des plus chic marbré au sol et lustré au plafond. De magnifiques boiseries mettaient en valeur les murs. Vraiment du beau travail. Tout pour en mettre plein la vue aux visiteurs. Nous nous retrouvions au quatrième étage d'un trois-pièces qui à vue de nez faisait une bonne centaine de mètres carré. L'affaire était rondement menée, le petit jeu marchait à la perfection. Et ...