J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (3)
Datte: 02/10/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Avant la nuit, mon cousin-amant me présenta au couple des gardiens après avoir récupéré ma voiture. Nous dinâmes et ensuite nous regagnâmes le lit. Stefan voulut à nouveau me baiser, mais j’étais fatiguée et lui demandai de surseoir au lendemain : - Juste une branlette entre des gros seins ! - ça commence comme ça ... - S’il te plait ! Il était nu et agitait déjà sa bite à côté de moi. Une si belle bite... sur un mec bâti comme un dieu, Comment refuser ? Pour la troisième fois de la journée j’étais en train de mefaire baiser et ce n’était pas désagréable du tout. - J’appelle le chien ! - Ah non pas encore... Vous allez me crever là ! T’es un véritable obsédé du cul ! - Dit celle qui suçait un cheval quand on a fait connaissance... - Tous les mâles du domaine sont des bêtes en chaleur. Stefan ouvrit la porte, siffla le chien qui arriva mais sa libido ne se ralluma pas. Il resta placidement au pied du lit à roupiller pendant que son maître se vidait les couilles entre mes seins. Après cet ultime hommage à mes charmes, je sombrai dans un profond sommeil. J’en fus tirée par un remarquable cunnilingus. Mon cousin me bouffait la chatte calmement, tendrement, en fin gourmet. Que voilà un réveil agréable ! Mais tout en me laissant aller à ses caresses linguales, je regardai ma montre. 10 H 12 ! - La vache ! Stefan, tu ne m’as pas dit que le notaire venait à 10 H30 ? - Si ! - Il est presque le quart. - M’en fous, il attendra. - Sûrement pas... - Je me levai - Tu vas où ? - Ben me ...
... doucher... je suis pleine de ton foutre séché entre mes seins. - Pas grave, il aime peut-être ça. - T’es con ! - Tu me promets qu’après on va te faire baiser par le cheval ? - Gros porc. Quand je fus prête, je descendis dans le grand salon où Stefan avait introduit le notaire. C’était un toutjeune homme qui venait de succéder à son père. Il était maigre comme un capelan, pâle comme un rat de bibliothèque avec une légère barbiche rousse pour se donner plus d’âge. Il avait l’air d’être un puceau sorti de l’adolescence dans son costume gris trop grand pour lui. Il nous fit lecture du testament. Décidément le vieil oncle était un original. Pas de doute, j’appartenais à une famille de fous. Nous étions les deux seuls héritiers. Le premier de nous deux qui aurait un enfant recevrait 90 % du patrimoine. Le second, se contenterait du reste qui était déjà équivalent au gain du loto. La fortune était gigantesque. Si toutefois d’ici 10 ans aucun n’avait d’héritier, et si nous n’avions pas démontré d’ici là par un test pratique devant témoin de notre capacité à copuler, nous serions alors dépossédés de notre héritage. Si au contraire nous avions fait nos preuves, on prolongeait de 10 ans, après quoi, toujours sans héritiers, on perdait tout au profit d’une œuvre. Et tant que nous n’avions pas d’enfant, nous ne pouvions profiter de l’héritage. Stefan demanda précision. - Si je comprends bien, si on n’a pas d’enfant l’un ou l’autre d’ici dix ans, il faudra faire l’amour devant un témoin pour ...