J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (3)
Datte: 02/10/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... notaire se rhabilla et il fut convenu qu’il nous apporterait les papiers à signer. Puis il sortit. - Maintenant que nous sommes seuls, au cheval.... - Oh non !!!! - Tu veux plus ? - Oh si...mais elle est trop bonne ta queue là, je n’ai pas envie d’interrompre... - N’importe, viens. Et il me prit dans ses bras. Nous sortîmes dans la cour déserte et, sur mes jambes désormais, nous rejoignîmes l’écurie. Dès que nous fûmes près du petit cheval, il se mit à bander. - Tu vois, il t’attendait. Tu l’excite vraiment. Ce n’est pas toi qui pourra monter le cheval, c’est le cheval qui pourra te monter. Suce -le pour l’exciter encore plus. Je pris donc le zob du poney et me mis à le pomper avec autant de délice que la veille. Ainsi penchée contre le flanc de l’animal, j’offrais ma croupe où Stefan agitait sa grosse verge sans relâche. Il y avait des bottes de paille à proximité. Stefan se détacha de moi pendant que je continuai à téter l’animal avec fougue pour nous préparer un lit à bonne hauteur. Il jeta quelques couvertures et m’invita. - Viens. Je m’allongeai et écartai les cuisses. Le poney était si près de mon corps qu’en me soulevant un peu je pouvais écraser mes seins contre son ventre. - Fais attention tout de même, il ne faudrait pas qu’il m’éventre ! J’étais folle de désir mais pleine d’appréhension aussi. Que se passerait-il si le cheval poussait trop loin ? - T’inquiète, je le guide et je surveille. Alors mon futur mari, tout en m’adressant mille compliments sur ma beauté ...
... et mon vice, aida la bite du cheval à me fendre la raie. D’abord, il me chatouilla le clitoris avec l’énorme extrémité du gland dont je sentis la chaleur. Il le fit jouer entre les lèvres pour que je mouille bien. Il l’enduit de sa propresalive puis, il commença à le pousser à l’intérieur. C’était Colossal. L’animal exerçait une pression que la main de l’homme contrôlait et il me pénétra puis glissa sur les parois les écartant plus que des forceps, et puis il fut au fond et se mit à bouger, m’arrachant quelques cris de profonde douleur. Il fallut que je trouve jusqu’à quel point l’enfoncer pour qu’il puisse coulisser sans toutefois me blesser. Une fois la position idéale trouvée, l’animal dont les mouvements étaient d’une régularité et d’un amplitude constante et d’une certaine douceur, comme s’il comprenait mon plaisir, se mit à aller et venir. Mon orgasme explosa à l’instant. Mon sexe plein de lui, je sentais avec une sensibilité extraordinaire les détails de la grosse verge en moi, les contours de son gland , sa fermeté et sa douceur. Parfois, j’agrippais le vit de mes mains, aidant mon fiancé à le faire coulisser, ou alors j’empoignais les flancs de la bête pour le serrer dans une étreinte folle. - Putain que tu es belle ma salope chérie ! Regarde, je me masturbe, je me pignole...tu me fais grave bander. Approche tes mains que je jouisse dedans. Mais je n’approchai rien,cramponnée à l’équidé dont de dégustais les solides assauts. - Nom de Dieu ! Qu’est-ce que vous foutez ...