Une saison fabuleuse
Datte: 02/10/2018,
Catégories:
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Je m’appelle Tom, j’ai 22 ans et l’été dernier, dans le but de mettre un petit peu d’argent de côté pour subvenir à ma vie d’étudiant, j’ai dégoté un petit boulot de maître nageur au camping de *******, sur la côte atlantique. Il est difficile de parler de soi objectivement mais je suis plutôt pas mal selon les dires de mes conquêtes. Pas très grand (un mètre soixante-douze), je compense cela par un corps musclé et une audace séductrice souvent récompensée. Nous étions à la fin du mois de juin, le camping commençait tout juste à s’animer à l’orée du mois de juillet et des vacances scolaires. Le site est en bordure de mer et regroupe des caravanes ainsi que des bungalows, certains équipés en cuisine et sanitaires, d’autres non, ce qui implique l’usage des installations communes. Le camping compte une cuisine dans laquelle j’officie, un bar qui sert aussi de night club et un restaurant. Elle devait approcher la quarantaine, mais son corps ne portait pas les traces des années. Grande, environ un mètre soixante-quinze, elle portait les cheveux très courts, à la garçonne, et très noirs, faisant ressortir ses yeux d’un bleu gris ensorceleur. Sa silhouette était sportive et sa poitrine impressionnante paraissait étonnamment ferme. Je sentais en elle une férue des salles de sports, ou une joggeuse assidue. La première fois que je l’ai vue, elle sortait de son bungalow tôt le matin, seulement vêtue d’un débardeur blanc et d’un petit short, sans doute la tenue qu’elle portait pour ...
... dormir. Elle ne portait donc pas de soutien-gorge et je devinais sous le coton les larges aréoles sombres de ses seins. Elle regarda le ciel un moment et j’eus à peine le temps de lui lancer un « bonjour » de loin qu’elle regagna l’intérieur de son logement. J’étais un peu déçu, mais en sentant mon sexe se durcir, je me dis que la journée ne commençait pas si mal. Les deux jours suivants, je ne l’aperçus que brièvement. J’avais beaucoup de travail et pas vraiment le courage de passer un moment au night-club le soir. Mais le troisième jour, alors que je discutai avec un couple de clients devant le bloc des sanitaires, je la vis passer devant moi, la serviette sur l’épaule et une trousse de toilette à la main. Ma discussion achevée, je passai derrière le bâtiment et grimpai à l’étage par une vieille échelle, l’escalier n’existant plus. Le bloc sanitaire est des plus vétustes et il comporte un étage désaffecté occupé par des vieux meubles délabrés. Ayant découvert cela par hasard en début de saison en allant récupérer le ballon d’un enfant maladroit, j’ai tout de suite compris l’intérêt du lieu. J’avais repéré l’endroit qui surplombe les douches des femmes et percé plusieurs trous qui ne se remarquent pas de l’intérieur des cabines, les plafonds en vieux bois lambrissé étant déjà très abimés. J’ai repéré la cabine de ma « victime » et je me suis allongé sur le ventre, l’œil rivé à un des trous. Elle venait de renter dans la cabine. Elle devait sortir d’une séance de sport car la ...