Une saison fabuleuse - Histoires de Sexe

Une saison fabuleuse

... mètres alors qu’un plan d’approche prenait forme dans ma tête. Je revins sur mes pas en longeant la dune et toujours en courant. Arrivé à son niveau, je m’arrêtai et la saluai tout naturellement. Elle me reconnut et me demanda pourquoi je n’étais pas en train de surveiller la piscine. — Je suis en congé aujourd’hui, j’en profite pour faire un peu de sport. Ce n’est pas avec les fesses posées sur une chaise toute la journée que je vais m’entretenir !— C’est bien vrai. Je ne vais pas souvent à la piscine, mais je t’avais déjà vu dans le camping. Et puis dans cette tenue, je ne pense pas que tu tolèrerais ma présence sur un transat !— Si ça ne dépendait que de moi… Je promenai mon regard sur son corps pour la première fois depuis que nous parlions. Elle s’était appuyée sur ses coudes pour me parler et cela renforçait l’opulence de ses seins. Je n’avais pas réalisé la veille qu’elle n’avait aucune trace de bronzage, sa peau était brune partout et ses jambes légèrement ouvertes laissaient voir ses grandes lèvres imberbes. Je commençais à sentir le désir monter en moi et une folle envie de caresser ce corps offert aux vents et aux regards. — Moi aussi j’aimerais me mettre dans cette tenue plus souvent, inventai-je. Mais je ne peux pas à cause des clients qui fréquentent cette plage.— Tu sais, les gens sont loin… Regarde, on les distingue à peine. Allonge-toi ici si tu veux et si une tête connue arrive, je te préviendrai et tu feras mine de dormir avec mon chapeau sur la tête. ...

... Personne ne te reconnaitra. Et puis…— Oui ?— Maintenant que tu m’as bien matée, je pense avoir le droit d’en faire autant. Je fus un peu décontenancé, mais me repris très vite. Elle déplia sa grande serviette qui pouvait contenir au moins deux personnes et je m’assis à ses côtés. J’ôtai mon débardeur et mon short de bain. Ma verge était déjà gonflée et mon pubis rasé très court ne la cachait aucunement. Elle ne se priva pas pour poser ses yeux dessus, l’air gourmand, ou était-ce moi qui me faisais des idées ? Elle se retourna pour se mettre sur le ventre et me tendit son tube de crème solaire. — Maintenant que j’ai quelqu’un pour m’en étaler, je ne vais pas me priver ! Je commençai timidement avec une main à lui étaler la crème, qui s’apparentait plus à du monoï huileux, sur les épaules. Elle m’encouragea à user de mes deux mains et je me retrouvai vite à genoux à ses côtés. Je massai son corps musclé doucement, en descendant petit à petit vers ses fesses. Elle me demanda de lui en passer aussi sur les jambes. Arrivé en haut de ses cuisses, elle écarta légèrement les jambes, ce qui eut pour effet de découvrir sa fente qui semblait très humide. Je m’enhardis et mes doigts palpèrent l’intérieur de ses cuisses, jusqu’à se trouver au contact de sa vulve qui était effectivement largement trempée. Sa respiration devenait plus saccadée et plus forte. Elle releva les fesses et mon index s’introduisit au fond de son sexe. Je débutais un lent va-et-vient, m’attardant sur son clitoris ...