-
Kristine 14 Malgré tous mes efforts....
Datte: 03/10/2018, Catégories: Dans la zone rouge,
... retrouver son amoureux. Moi pour ma part je me retrouvais seule dans la maison vide. A part mon travail , mon patron, mes collègues, je n’avais qu’une maison vide et des regrets que la tristesse des programmes télévisés ne faisaient qu’aviver. Et puis un soir, vers 22h00 alors que je revenais d’un déplacement un peu long, fatiguée par ma journée de travail je me suis perdue en rentrant dans les travaux et les tranchées du centre ville. Finalement la déviation m’a amenée dans la rue où habitait désormais Damien. Par une coïncidence une place de parking était libre devant son immeuble. Je m’y suis garée suivant le destin qui avait guidée mes pas. Pour renforcer ma conviction d’un signe de la providence, la lumière de l’escalier s’est allumée et j’ai pu m’introduire dans l’immeuble à la suite du couple qui en sortait. Je n’ai pas pris l’ascenseur, j’ai monté l’escalier. A chaque étage j’entendais le bourdonnement des téléviseurs et quelques bribes de vie quotidienne de familles. Je me suis arrêtée le coeur battant devant la porte du cinquième gauche. Il n’y avait pas de bruit. La lumière s’est éteinte. Seul, le bouton de la minuterie brillait sue le palier. Je suis restée quelques minutes dans le noir me demandant ce que j’étais en train de faire. Il n’y avait plus de pensée en moi. J’agissais comme un robot, comme si un programme inconnu avait pris possession de moi. Finalement, la lumière s’est allumée d’elle même, j’ai entendu des bruits de pas. Comme un robot, j’ai appuyé ...
... sur le bouton de la sonnette. Timidement. J’espérais que j’avais fait fausse route qu’il n’y avait personne. Mais soudainement, j’ai entendu le bruit du verrou suivi de l’ouverture de la porte. J’étais décomposée. -Kristine, vous en avez mis du temps pour revenir. Je vous attendais… Je voulais fuir. Je voulais aussi rentrer. Je voulais descendre l’escalier. Je voulais me jeter dans ses bras. Je voulais le battre à coups de poings. Je voulais qu’il m’embrasse. Mais rien de tout cela, je restais paralysée. Ma bouche s’est ouverte mais aucun son n’est sorti. J’avais tant de chose à dire. Il a posé un doigt devant mes lèvres pour me dire que les mots étaient inutiles. Il m’a pris la main avec douceur et m’a fait entrer. Il m’a guidée jusqu’à la chambre. Dans la glace de l’armoire, il y avait mon reflet. Je ne reconnaissais pas la femme qui s’y trouvait. Damien se trouvait derrière moi dans l’ombre. La lumière de la chambre était éteint, Seule la lumière du couloir éclairait la pièce. Il a déboutonné le chemisier de la femme devant le miroir. La dentelle noire du soutien gorge cachait la blancheur des seins. Je fixais le visage de la femme comme s’il s’agissait d’une autre. J’étais étrangère à moi-même. Ses mains ont saisi mes seins, ont étiré les mamelons. La douleur liée à la morsure du plaisir se lisait dans le visage de la femme sur le miroir. J’ai senti sa bite contre mon cul. Je me suis cambrée pour sentir sa dureté contre mes fesses. Il s’est frotté simulant le coït. Mes ...