1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (23) Sur le lieu de travail : les femmes aussi !


    Datte: 04/10/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    J’ai raconté (récit n°21) comment, avec la complicité d’Olivier et Serge, collègues de travail de Philippe, mon amant Rachid m’avait offerte toute une après-midi d’été, en présence de mon mari Philippe, à d’autres collègues de travail de celui-ci et ceci sur son lieu de travail. La réputation de Philippe, comme l’archétype du mari cocu, était déjà bien établie, elle ne pouvait qu’être renforcée par cette partie fine. Beaucoup de ses collègues entendaient profiter de l’occasion et disaient-ils en présence de Philippe, sans se gêner, « se faire la pute » et accroître encore la «taille des cornes du cocu». Ils n’avaient que mépris pour Philippe, ne comprenant pas qu’il était consentant et complice de tout ce qui se passait, qu’il l’avait voulu, rêver et que cela se faisait au-delà même de ses espérances. Ils ne comprenaient pas que, s’il était «techniquement cocu», il était un candauliste, marié à une épouse hypersexuelle qui, désormais, ne refreinait plus ses envies. D’autres séances furent donc organisées dans les bureaux de Philippe, quand cela était possible. D’autre fois, Philippe ramenait des collègues à la maison, et m’offraient à eux pour une longue soirée de débauche. D’autres de ses collègues devinrent des participants assidus aux soirées sadomasochistes qu’organisait régulièrement le week-end Marie C, bénéficiant de la mise à disposition de la grande maison de campagne (qu’ils appelaient le « château) que possédaient Christine et Jean (voir le récit n°16). Philippe ...
    ... avait également des collègues féminines. Olivier et Serge savaient que j’étais profondément bisexuelle. Et ces dames ne voulaient pas être en reste. Elles voulaient elles aussi «en profiter». C’est Jacqueline, une rousse plantureuse et lesbienne affirmée, qui, ayant entendu parler de ce qui s’était passé avec ces Messieurs, fut à l’origine de cette nouvelle séance. Elle fit d’abord en sorte de convaincre d’autres collègues et se retrouvèrent au total à quatre. Outre Jacqueline, il y avait Fabienne, une brune de la trentaine, qui avait déjà eu des expériences bisexuelles. Puis elles convainquirent Céline et Christel, deux jeunes secrétaires, de faire la découverte du plaisir saphique. Jacqueline s’adressa à Olivier et Serge, qui, une fois de plus, servaient d’intermédiaires. Les quatre femmes voulaient que ça se passe également au bureau et que l’après-midi soit exclusivement réservée au plaisir entre femmes. Les collègues masculins seraient, cette fois, « interdits de séjour », chargés uniquement de veiller à ce que ces dames ne soient pas dérangées. Olivier et Serge furent aussi chargés d’obtenir le feu vert de Rachid, qui disposait de mon corps. Ils passèrent donc à la maison et après une longue séance où, avec Rachid, les trois hommes me firent l’amour devant Philippe, ils expliquèrent les intentions de ces dames. J’étais enthousiaste. Depuis ma découverte du plaisir à l’adolescence, je désirais faire l’amour avec des hommes, mais aussi avec des femmes. J’ai raconté, dans ...
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