Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (23) Sur le lieu de travail : les femmes aussi !
Datte: 04/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... toi. Sois gentille, et fais ce que nous voulons ; nous allons t’avoir pour nous quatre et tes trous vont s’en souvenir. Comme je l’ai dit, Fabienne avait été invitée à notre mariage (voir mon récit n°5). Elle avait assisté à cette fameuse journée, témoin des tentatives saphiques dont j’avais fait l’objet de la part de Christine et surtout de mon premier adultère, avec Pierre, auquel m’avaient poussé Philippe et ses complices. • Tu m’as beaucoup excité ce jour-là, Olga. Je te désire follement depuis cette journée, la première fois que je t’ai vue. J’ai bien essayé de t’oublier, mais tu es partout : dans mes rêves, dans ma tête, dans mes pensées… Tu es l’objet même de mes fantasmes. Je me masturbe tous les soirs en pensant à toi, pareille le matin. Et cela m’est même arrivé au bureau. J’ai envie de toi comme je n’ai jamais eu envie de quelqu’un auparavant. Alors quand Jacqueline m’a par lé de son idée, j’étais folle d’impatience. Fabienne se rapproche encore de moi et soulève mon menton. Je rencontre son regard. Elle sourit. • Tu en as mis du temps ! Je t’avais observé et toi aussi tu m’avais beaucoup plu. Aujourd’hui, je serai à toi. Peu lui importe à elle aussi qu’on nous observe. Elle me prend dans ses bras et m’embrasse. Pas un petit baiser d’écolière. Non. Elle m’embrasse passionnément, avec la langue. Une langue délicieusement douce et tendre, qui joue avec la mienne, passe sur mes lèvres et rentre à nouveau dans ma bouche pour en explorer chaque recoin. Elle passe sa ...
... main sur la naissance de mon sein pour remonter jusqu’à ma nuque, qu’elle saisit pour me faire pencher la tête encore plus et m’embrasser plus profondément. C’est si bon de la sentir contre moi, de l’embrasser, de pouvoir goûter à ses lèvres douces. Nous serions capables, elle et moi, de faire l’amour en public, tellement nous avons envie l’une de l’autre. Jacqueline nous rappelle à la raison et nous invite à passer aux choses sérieuses. • Fabienne, comme promis tu seras la première. Mais allons plutôt dans le bureau de Philippe, ce sera plus discret et plus confortable. Nous nous rendîmes au bureau de Philippe, et comme convenu, Serge et Olivier étaient chargés de rester à l’accueil de l’étage et de faire en sorte que nous ne soyons pas dérangées. La grande organisatrice, Jacqueline, donna ses instructions aux filles, par rapport à Philippe. Elle leur donna des cordes. • Nous avons voulu qu’il soit présent, pour qu’il puisse mater. Pas question qu’il participe, pas même qu’il puisse se toucher. Céline, Christel, mettez ce cocu à poil Philippe n’opposa aucune résistance et les filles lui lièrent les mains derrière le dos, l’attachant à une chaise. • Dites-donc les filles, ça l’excite. Il bande ! • Et même plutôt bien ! • On va voir si le spectacle que nous allons lui offrir le fera gicler sans qu’il se touche. • Occupez-vous bien de ma chérie, donnez-lui beaucoup de plaisir, c’est tout ce que je demande ! Comme avec les hommes, la table de réunion, le canapé et le bureau de ...