JOUR DE PÊCHE
Datte: 04/10/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
... expressifs." Je cherchais mes mots. Je n'étais pas sur mon terrain de prédilection. Mathilde me regardait et attendait. J'ai senti ses mains bouger sous la couette. "J'aime ton style, tu t'habilles avec beaucoup de goût. J'aime tes cheveux, et ta coiffure. J'aime … euh ..." "Oui?" Je me suis forcé pour ces mots: "J'aime ta silhouette. Je veux dire ton corps. Je veux dire, tes seins, tes hanches, tout, j'aime tout!" "Hum" elle fredonna: "C'est bon d'entendre ça. Ça fait si longtemps ... Je t'aime aussi, Jérémie. Je pense que tu manques de confiance en toi. Tu es trop timide. Un gars aussi intelligent et bien fait que toi, tu pourrais avoir n'importe quelle fille. Avec ce sourire et cette gentillesse, tu pourrais avoir n'importe quelle fille que tu désirerais, simplement en demandant … N'importe laquelle ..." Elle laissa sa phrase en suspens, guettant ma réaction. J'étais conscient du ralentissement du temps dans la chambre, j'avais conscience de mes battements de cœur. Un rythme de vie lent et palpitant. Je me demandais si elle se caressait légèrement. Sentant mes atermoiements, elle a relancé le débat: "Tu aimes autre chose chez moi?" Elle ne souriait plus, ni des yeux, ni des lèvres. Elle ferma les yeux et pencha la tête en arrière. Eh bien, j'étais déterminé à lui donner ce plaisir, si je le pouvais. J'ai fait une série de commentaires, entrecoupés de pauses, établissant une sorte de rythme propre: "Eh bien, j'aime les vêtements que tu portes, et j'imagine ce qu'ils me ...
... cachent. J'imagine tes seins. J'aime les regarder à la dérobée quand tu ne te méfies pas. J'aime leur douceur et leur fermeté. J'aime tes tétons, surtout quand tu as froid et qu'ils se dressent. J'aimerais les sucer. Comme cette fois, à la pêche, ton tee-shirt était mouillé, j'ai cru devenir fou, je voulais enfouir mon visage là-dedans, je voulais l'arracher. Je voudrais te sucer les mamelons jusqu'à l'orgasme, Mathilde. Je pourrais rester à regarder tes seins toute une journée. Si j'étais ton homme, je t'obligerais à rester toute la journée seins nus. Et je ne ferais rien d'autre que passer toute la journée à les regarder. " Doucement, progressivement, le mouvement sous la couette a augmenté de rythme. J'imaginais une main sur le sein, pressant et torturant le téton. Je ressentais le battement de l'autre main sous la couette et j'imaginais les doigts de Mathilde écartant ses grandes lèvres pour masturber son clitoris. Il me semblait percevoir un très léger clapotis humide qui l'accompagnait, ou peut-être était-ce mon imagination? Mathilde me regarda de nouveau, avec un regard qui quémandait les compliments: "Et mes fesses? Dis-moi ce que tu aimerais faire avec ma chatte et mon cul!" "Ah, oui! J'aime quand tu portes une robe légère, l'été, et que je devine tes formes quand tu passes dans un rayon de lumière. J'aime tes culottes de bikini, quand tu sors du bain, et qu'elles dévoilent ta chatte en transparence. J'imagine sa douceur, sa volupté. J'aimerais la couvrir de baisers, ...