JOUR DE PÊCHE
Datte: 04/10/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
... écarter tes lèvres pour goûter tes jus avec ma langue, sucer ton clitoris pour te faire perdre la tête. Quand à tes fesses, j'ai toujours envie de les mordre pour te faire mal, puis les lécher et les sucer pour te consoler." "J'aimerais bien mordre les tiennes aussi, Jérémie. Et si je le faisais, je pourrais peut-être te retourner." Mathilde haletait maintenant, son débit était haché par la montée du plaisir. "Je te retournerais pour m'emparer de ta bite dure. Je mettrais ma bouche dessus et je passerais ma main sur tes couilles et ton cul. Dis-moi encore ce que tu trouves mignon en moi?" "Tu te souviens de la fois au camping et que je me suis trompé de douche? Tu sortais de la douche des femmes? Juste un instant, je l'ai entrevu!" Les mains sous la couette ont accéléré le rythme. "T'as vu quoi?" "Tu sais." "Dis-le Jérémie!" "Ta touffe!" "Dis-le Jérémie!" "Tu sais." "Putain! Dis-le Jérémie !!!" "Ta chatte." "Tu aimerais voir ma chatte ..." Mathilde, à bout de souffle, haletait maintenant, comme un chien par une chaude journée d'été. Le lit vibrait, son poignet heurtait ma hanche à travers la couette. "Ouais. J'aimerais voir ta chatte!" "Veux-tu me toucher? Maintenant?" Les dents serrées, Mathilde a ralentit son mouvement. "Oui." D'un mouvement brusque, Mathilde a rejeté la couette pour saisir ma main libre et la porter sous son entrejambe. J'ai eu l'impression de mettre ma main dans une assiette de sauce tiède, tellement désirable, humide et gluante. J'ai tout de suite ...
... plongé deux doigts à l'intérieur, avec le pouce qui presse le clitoris, et j'ai adapté mon mouvement à sa respiration. Mathilde a émit un gémissement profond. En même temps, son mouvement avait exposé son buste. Je me suis jeté sur ses seins comme un bébé qui meurt de faim à l'heure de la tétée. J'embrassais, je léchais, je suçais ces mamelons tant désirés. Mathilde grognait maintenant, au rythme de ses halètements. "Je veux bouffer cette chatte!" J'ai rejeté totalement la couette. Pour la première fois, j'ai vu Mathilde entièrement nue et magnifique. La voir dans cette position, nue et offerte, m'a rendu fou. J'ai plongé sur elle comme un chien qui lape une gamelle de sauce et j'ai lécher toute la longueur de sa chatte avec ma langue. Mathilde gémissait dans la luxure. Elle leva ses jambes en les écartant au maximum pour m'offrir le meilleur accès possible. Je tendis les mains et, tandis que ma bouche allait de l'anus au clitoris, je pressais ses seins avec force, tirais et tordais ses tétons. Mathilde couinait en rythme, de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'elle se fige, bloquant son souffle. Les muscles bandés comme si elle s'était transformée en statue. Quelques secondes, puis un long cri libérateur, avec un tremblement de tout son corps pendant quelques secondes. Pendant ce temps, je laissais ma langue caresser doucement et lentement sa chatte. Après ce spasme, elle a repoussé ma tête avec force pour m'éloigner de ses zones sensibles et elle est restée allongée là, essoufflée, ...