Si tu savais...
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
fh,
policier,
... rends bien compte qu’elle me plaît tellement que j’aurai beaucoup de mal à résister à son envoûtement. Je pense à mon frère Marc en prison ; cette situation très délicate risque vite de devenir incontrôlable. — Catarina… Et ton plafond ?— Ne t’en fais pas : ton assurance m’a envoyé une entreprise pour le réparer aujourd’hui. Dans la soirée, après un dîner dans une petite taverne d’Ermioni, nous rentrons à Athènes assez tard et je m’écroule sur mon lit pour une nuit de sommeil réparateur. ooOoo Le jour d’après, j’appelle le commandant de mon bureau. — Vous devez rester quelques jours avec elle.— Qu’allez-vous faire ? Je n’imagine pas Catarina en terroriste ! Vous allez la faire souffrir !— Ne vous attachez pas trop, mon ami ; rappelez-vous que vous êtes en mission, et pas en train de vivre une histoire d’amour ! Nous ne trouvons pas ce que nous cherchons. Avant d’en venir à une méthode plus radicale, vous devez rechercher une carte bancaire de la Saderat Bank, qui devrait finir par 7893. Mémorisez ce numéro, et surtout ne l’écrivez nulle part. Soyez discret ! Cherchez dans son sac. Essayez d’aller la voir. Le soir même, je sonne à sa porte ; elle m’ouvre, mais semble gênée. Je parle fort au cas où quelqu’un nous entendrait. — Je suis venu voir votre plafond rénové. Elle regarde derrière moi et me tire vivement par la main dans l’appartement. — Tu es fou ! Si quelqu’un te voyait, je risque gros… Sotiris devrait rentrer demain soir ; la voisine de la maison d’en face, c’est ...
... une grosse truie qui parle trop ! Elle me regarde avec son regard vert et profond puis se précipite sur moi ; nous nous embrassons avec fureur, mes mains se perdent dans son corsage, sous sa jupe, sous son slip. Elle remonte sa jupe à deux mains et s’assoit dans le canapé en m’entraînant avec elle. Tout en l’embrassant à genoux face à elle, je lui retire sa culotte et ma bouche se perd dans son intimité. Avec les doigts, je tire sur ses petites lèvres que je lèche passionnément ; j’introduis ma langue le plus loin possible dans son sexe, encouragé par les mains de Katarina sur ma nuque, puis mon index la remplace. — Oh, Julien, c’est bon… Prends-moi, prends-moi ! Je t’aime, je t’aime… Je me déshabille et la pénètre rapidement ; ses mains dans mon dos puis sur mes fesses rythment brutalement notre accouplement. Une nouvelle fois, quelques minutes plus tard un puissant orgasme nous secoue. Collée contre moi, elle me déclare à nouveau son amour pour moi. Je me sens de plus en plus mal : je suis en train de jouer avec elle, même si je ne fais pas semblant de l’aimer. Après m’avoir préparé un rapide dîner, nous faisons à nouveau l’amour, atteignant des sommets de plaisir inconnus. Vers deux heures du matin, l’espion amateur que je suis se réveille grâce à la vibration programmée de mon téléphone que j’ai placé sous l’oreiller. C’est le cœur battant la chamade que j’emporte son sac dans la salle de bain. Le silence est profond ; seuls quelques bruits de voitures résonnent dans les ...