1. Tennis


    Datte: 06/10/2018, Catégories: ff, sport, volupté,

    ... Liléa avait éveillé en elle. Elle regarda longuement ce corps qui s’offrait sans résistance à son regard vert. Regard gourmand à la prunelle agrandie d’excitation. Elle posa sa bouche délicatement sur l’aréole du sein, fit goûter à sa langue la perle de sueur qui était apparue à la surface. Enroula le téton et aspira le tout en une caresse qui fit se cabrer le ventre de Liléa. Sa bouche descendit lentement jusqu’au nombril où elle se perdit un temps, faisant s’échapper des soupirs de plaisir de celle qui l’avait entreprise. Qui se trouvait maintenant dans la position de conquise. Elle quitta ce petit vallon, permis à sa langue de continuer le chemin. À l’aide de ses mains elle souleva les hanches de la femme étendue, et délicatement posa ses lèvres en corolle, gobant ainsi tout entier le sexe offert à ses tourments. Elle fit glisser sa langue du haut jusqu’en bas de la fente humide et pourprée. De sang, les lèvres étaient gonflées, le désir était visible et le tout palpitait. Elle lécha le suc qui coulait, le ventre se tendit, une plainte s’échappa et vint mourir au fond de la gorge de Liléa. Ses muscles se contractaient sous la caresse qui se fit plus précise et plus appuyée. La langue fouillait, titillait, mais se laissait désirer. Elle agaçait juste ce qu’il fallait, sans jamais se poser sur le petit bourgeon tendu. Ses lèvres emprisonnèrent celui-ci en un baiser si doux que les fesses se levèrent pour mieux s’offrir à la bouche gourmande. Excédée, excitée par la caresse, ...
    ... prisonnière de la bouche carnassière de Nicola, Liléa attrapa la tête de celle-ci et la plaqua plus près. Elle voulait sentir cette bouche la prendre, la pourfendre de ses baisers chauds. La langue finit par s’introduire en elle, puis se retira pour mieux s’enfoncer encore. Au plus profond de la caverne, aller. Sentir vibrer les muscles du vagin se refermer sur l’organe souple et agile. La tête de Liléa, les yeux fermés, se balançait de droit et gauche, les cheveux humides de la sueur qui perlait maintenant sur tout son corps. À la moiteur de la pièce s’ajoutait l’acidité des effluves de sexe que toutes les deux, elles dégageaient. Elle reprit sa caresse sur l’organe sensible, qu’elle fit prisonnier entre ses lèvres, accentuant ainsi la cadence de sa langue. Ouvertes, les cuisses dont les muscles saillaient sous l’effort et la contracture, Liléa s’offrit plus encore. Elle sentait la vague de plaisir monter, la pression sur son clitoris se faisait plus forte. Elle voulait se donner tout entière à celle qu’elle avait tant désirée. Mais Nicola voulait bien plus que cela. Elle voulait, elle aussi, jouir de sa compagne. Le plaisir partagé. Elle interrompit sa caresse, s’empara d’une des cuisses de Liléa, la replia sur le ventre de celle-ci, écarta l’autre, et enfourcha son amante. En ciseau, elle se retrouva au-dessus, fit lentement plier ses genoux et posa doucement son sexe contre celui qui s’offrait au sien. Les deux sexes ainsi en contact, lui permirent de soulever Liléa, dont ...
«12...4567»