Marie Laure 2 (partie 1)
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... de plaisir. Elle avait à peine commencé sa fellation, que déjà elle l'interrompait. Frustré, je voulus une nouvelle fois me redresser, mais Marie-Laure m'interrompit en s'empalant sur moi, m'arrachant un petit cri de plaisir. Un petit sourire coquin aux lèvres, elle se mit à à donner des coups de reins de gauche à droite lentement tout en me maintenant fermement sur le lit. Le plaisir montait doucement en moi. Au bout d'un moment, Marie-Laure retira son soutif, libérant enfin sa volumineuse poitrine. Elle se mit ensuite à accélérer le rythme de ses assauts, jusqu'à faire monter le plaisir à un plus haut niveau encore. Son corps bougeait de plus en vite, et le voir en mouvement était un pur régal. Marie-Laure gémissait de plus en fort, à mesure qu'elle s'activait sur ma queue. Quant à moi je perdais pied de plus en plus tant le plaisir qu'elle m'infligeait était grand. La belle allait de plus en plus vite, et de plus en plus fort. Sur le lit à eau, je bougeais si vite que j'avais l'impression de surfer, de surfer sur une vague de plaisir. Elle finit par changer de technique, et se mit à aller et venir d'avant en arrière, me baisant comme une forcenée, me culbutant sauvagement. Ma fierté me commandait de me rebeller, de chercher à reprendre le dessus, mais je n'étais tout simplement pas en état. Sentant qu'elle avait le plein pouvoir, Marie-Laure en profitait pour me provoquer, me griffait le torse, me giflait, me servait des sourires moqueurs et provocants. A un moment, ...
... elle me donna un coup de rein plus fort que les précédents, et je poussai un grand gémissement. « Ha ha je te fais gémir comme une fille ! Je fais de toi ce que je veux, c'est trop bon ! » Un peu honteux, je tâchai de jouer la carte de la mauvaise foi : « Tu parles oui, tu me fais rien du tout, je sens rien. » Malheureusement, au même moment, je poussai un cri de plaisir qui vint souligner ma mauvaise foi. Marie-Laure eut un sourire moqueur. Elle me saisit par le menton et se pencha sur moi : « T'as le même discours qu'une fille entrain de se faire démonter par un mec. T'es vraiment nul comme mec ! » Piqué au vif, je me redressai, bien décidé à reprendre le dessus. Mais Marie-Laure s'y attendait, et elle fit bouger le matelas pour me déséquilibrer, et put aisément me plaquer contre le lit, me maintenant en son pouvoir. Elle se mit ensuite à sauter sur mon sexe de haut en bas comme une furie, ses énormes seins rebondissant au rythme de ses assauts, tandis que le plaisir montait en moi en vagues successives. Usant du rebond du matelas à eau, elle accentua encore le rythme de sa baise, me chevauchant telle une amazone. Rapidement, le plaisir me brouilla la vue, et Marie-Laure et moi gémissions à pleine voix. La belle devint encore plus sauvage, elle accélérait sans cesse le rythme de ses assauts, tout en se tenant la tête, en proie à un grand plaisir. L'extase montait en moi, je tâchai de la contenir, mais je finis par exploser dans un merveilleux orgasme, en même temps que ...