Marie Laure 2 (partie 1)
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Marie-Laure. Épuises mais comblés, nous nous effondrâmes sur le matelas. Au bout d'un moment, Marie-Laure ayant retrouvé son souffle me dit : « Je t'ai tellement baisé, ça fait du bien de mâter un mec comme ça... » Je poussai un grognement, n'ayant pas très envie de répondre. Marie-Laure éclata de rire. « Qu'est ce que t'es mauvais perdant, tu vas bouder ? » Tâchant de préserver le peu de dignité qui me restait, je dis : « Bon faut que je rentre, mes grands-parents vont se demander où je suis... » « C'est ça, cours vite te cacher chez mamie, petit soumis ! » Pour la dignité, c'était raté. Je me rhabillai et après avoir dit au revoir à Marie-Laure, je rentrai chez mes grands-parents. Pendant les deux jours qui suivirent, la belle m'envoya quantités de SMS, dans lesquels elle me narguait, très fière qu'elle était de m'avoir si bien mâté. J'avais hâte de prendre ma revanche… Il fallait que je la mâte une bonne fois pour toute, et je ne retournerai pas chez moi avant d'y être parvenu. Deux jours après avoir été dominé de la sorte, je retournai donc chez Marie-Laure, plus affamé que jamais. Un peu fébrile, je toquai à la porte. La belle ouvrit, elle était encore vêtue d'un mini-short en jean, mais portait cette foi un t-shirt rouge, qui moulait ses formes de façon indécente. En me voyant, elle eut un petit sourire moqueur : « Ah mon soumis c'est toi ? T'es revenu te faire... » Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase. Je me jetai sur elle, et la plaquai contre le mur, claquant ...
... la porte derrière moi. Je l'embrassai à pleine bouche, pressant mon corps contre le sien, et tenant sa poitrine à deux mains (il fallait au moins ça). Lorsque je quittai sa bouche pour embrasser son cou, Marie-Laure se mit à haleter doucement. Je sentais que je prenais l'ascendant, je ne devais rien lâcher. Je la saisis ses fesses, et la soulevai tout en continuant de l'embrasser. Elle était presque aussi grande que moi, et donc assez lourde, mais je devais tenir, je devais lui monter ma force de « mec », pour la mâter comme il faut. Tout en la portant, je me demandai où l'emmener. Je pensai au salon, mais la dernière fois, elle m'y avait dominé et je préférais éviter. J'avisai alors une porte ouverte qui donnait probablement sur sa cuisine : le lieux idéal pour remettre à sa place une fille comme Marie-Laure. Je l'entraînai dans la cuisine, et la posai à terre. Avant qu'elle n'eût le temps de faire un geste, je la retournai de force, et la fis s'allonger à plat ventre sur la table de la cuisine. D'un geste brusque, je lui retirai mini-short et sous vêtement, mais lui laissai le haut : la baiser à moitié habillée m'excitait. Je retirai à mon tour pantalon et caleçon, et la pénétrai d'un coup sec. Marie-Laure poussa un petit gémissement pitoyable, ce qui me fit sourire : le vent avait tourné, à son tour maintenant de se faire baiser ! « Je te préviens, tu vas déguster pour ce que tu m'as fait l'autre fois… L'avertis-je. » Elle aurait peut être voulu répondre, mais je ne lui en ...