1. Cecil


    Datte: 06/10/2018, Catégories: Accouplements Érotiques,

    ... le col indiquait l'origine de la frippe. Anatole s'en aperçut. - Maintenant, je vais te couper le col, comme les condamnés, tu sais ceux qui passaient à la guillotine! Là il fallait passer derrière la chemise, et il n'était pas question de retourner la chemise comme il avait été procédé avec la jupe. Il fallut se résigner à retourner la jeune fille contre la porte, ce qui ne présenta pas de difficulté puisqu'elle n'était maintenue que par les cheveux. Le ventre et les seins contre la porte, elle tourna la tête de côté, par confort, certes, mais aussi parce qu'elle voulait tenter de continuer à suivre les gestes des garçons. Ce qu'elle vit en premier fut le visage d'André, décomposé... par l'excitation, ce qu'elle comprit en orientant son regard vers la braguette. La déformation du jean était époustouflante ; il devait posséder un sexe monumental, et d'une vigueur tout à fait singulière, pour exhiber un tel relief, jusqu'à la ceinture, au-dessous de laquelle le volume du gland était fidèlement reproduit,plus large encore que la racine. En dépit de la situation dramatique, elle était somme toute fière de l'effet qu'elle produisait sur lui. Pourquoi ne pouvait-elle pas le dénuder et le caresser? Les autres aussi furent tous littéralement fascinés par le côté pile de ce corps juvénile. La cause principale en était la jupe qui, ainsi raccourcie, délimitait parfaitement le cul des cuisses, mais en plus et surtout accentuait le relief de ses fesses, en même temps que se montrait, ...
    ... cette fois, une partie de sa fesse droite nue. La pièce de tissu était devenue ridicule, à ne plus dissimuler que son sillon. De plus, la position de la fille l'obligeait à exagérer la cambrure de ses reins, ce qui amplifiait le contraste avec ses globes de chair musclés. Quelques cheveux bien sûr caressaient encore ses fesses et chatouillaient d'autant plus l'intérieur de ses cuisses que la jupe ainsi retaillée les dénudait en entier, mais le postérieur apparaissaît enfin distinctement aux trois hommes, après avoir été dissimulé par la masse de cheveux imposante pendant toute une année. Et plutôt que les cuisses totalement nues, plutôt que ses jambes rectilignes comme celles d'un modèle, c'étaient ses fesses encore dissimulées (même si la fesse droite, à cause de la fente, était partiellement visible, à l'extérieur, et à la jointure de la cuisse) mais dessinées comme par un moule, qui tétanisaient d'envie les trois mâles. Leur état les rendait d'ailleurs silencieux, et Anatole, après avoir repris conscience, finit de découper largement le col derrière la nuque, en prenant grand soin d'épargner les mêches de cheveux qui n'étaient pas coincées par la porte. La jonction entre la nuque et les épaules fut alors bien dégagée. - Lève les bras au-dessus de la tête, ordonna Anatole à Cécile. J n'ai pas fini. Cécile ne songea pas une seconde à discuter, ni à différer l'exécution. Cette fois, Anatole s'attaqua à l'échancrure des aisselles , puisque la chemise n'avait pas de manches. Il ...
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