Cecil
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
... main pétrir avec une audace plus marquée le galbe de son postérieur à travers l'étoffe ridicule, elle fut tentée de s'arrêter afin que la caresse eût le loisir de se prolonger, voire de s'intensifier. Elle continua pourtant son chemin, espérant en secret que d'autres mains viennent régénérer cette sensation. Enfin, ils arivèrent devant le rayon des alcools, habituellement moins encombré. Les deux compères, escortés par André, venaient de les rejoindre. Ils avaient eu soin de prendre à l'entrée un panier à main. Ils ne cessaient de la dévorer des yeux. Leurs lèvres étaient si sèches qu'ils passaient souvent leur langue entre elles. Alors, Anatole lui montra du doigt les bouteilles dont Cécile devrait se saisir, et qu'elle devrait ranger dans les paniers, que les hommes avaient sadiquement posés à terre. Cette fois, en effet, elle ne pourrait peut-être pas contrôler la situation, ainsi qu'elle l'avait réussi jusqu'à présent. Elle comprenait qu'elle allait devoir se dresser sur ses talons, ou se baisser pour attraper les bouteilles et les ranger. Anatole lui souffla à l'oreille: - Il y a deux hommes qui te fixent sur ta droite. Je veux que tu leur montres de quoi tu es capâble. Fais-leur comprendre ton envie de les exciter. Il faut qu'on les voie bander dans leur froc ; l'un d'eux est déjà en mauvais état. Après un regard furtif dans la direction indiquée, Cécile sut qu'Anatole ne mentait pas. Sa fébrilité n'était pas retombée, et elle aussi eut envie de les provoquer. Seule, ...
... elle allait être l'instigatrice de leur désir. Ils allaient dépendre d'elle, à partir de désormais. Avait-elle ainsi besoin d'étirer son corps, ses bras comme elle le fit, pour attraper deux bouteilles sur la dernière étagère? Toujours est-il que, bras levés, les échancrures sous les aisselles découpées très bas, découvrirent les flancs de sa cage thoracique. Quant au bas de la chemise, qui jusque là, ne couvrait déjà pas tout à fait la ceinture de la jupe, il s'était franchement relevé de quelques centimètres, dénudant d'autant son abdomen; la ceinture de la jupe passant, elle, au-dessous du nombril. Puis elle dut ensuite se baisser. Là, elle pouvait choisir plusieurs solutions : Soit plier les jambes et garder le buste à peu près droit, soit au contraire garder les jambes tendues, et courber son dos. Pour la première fois elle choisit la première option : Elle s'accroupit. La conséquence fut immédiate : Le pan postérieur de sa jupe, du côté de la fente, , pendit d'autant qu'elle pliait ses jambes. Lorsqu'elle fut totalement accroupie, l'angle de la fente était ouvert comme le tissu pendait derrière ses chevilles, au point que les deux voyeurs purent détailler le profil intégral de sa fesse tendue, que plus rien ne masquait. D'ailleurs, elle sentait son talon en contact direct avec son épiderme. Avant de se relever, elle ne put résister à la tentation de tourner son regard dans leur direction,lequel, comme un fait exprès, se posa à la hauteur de leur braguette. Elle ne fut pas ...