Candaulisme, un, deux, trois et demi, quatre...
Datte: 02/08/2017,
Catégories:
fhh,
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... moi qui l’avais demandé. C’est Anne qui me fait ce cadeau. » Je suis aux premières loges. Ma queue est une sonde qui capte tout. Le souffle d’Anne dans mon cou respire l’attente, mais aussi l’inquiétude de cette aventure nouvelle pour elle et pour moi. Cette queue qui se frotte à mes couilles est la bienvenue. J’imagine que le gland fore l’anus lorsque ma femme expire avec force. Ensuite, je sens la lente progression du mandrin, accompagnée d’un souffle chaud et régulier sur ma peau délicate de l’oreille. Je sais et je sens que le cul est totalement occupé lorsque des couilles inconnues viennent se frotter aux miennes. Inconnues, mais non hostiles. Elles font connaissance, bavardent, comparent, mais en réalité ne sont que des adjointes du bâton dur comme un mât de bateau. Anne reprend vie. Elle me parle. Que c’est bon, cette complicité et sa transformation – juste pour un instant – en salope, en chaude du cul qui se fait mettre par un autre. — Putain, je la sens passer. Il me défonce le cul. Vous me remplissez comme jamais. Puis, plus mutine : — Tu es content, mon chéri ? Ta femme se fait prendre en sandwich. Je suis sûre que cela fait partie de tes fantasmes. Mais n’oublie pas les miens : un jour viendra où… Ahhh. Le jeunot s’impatiente. Il ne veut pas faire de figuration. Maintenant qu’il est en place, il ne rêve que d’en sortir, pour réinvestir, encore et encore… Mais c’est Anne qui s’y colle. Sur nos deux vits complices et dressés, elle s’empale sans vergogne. C’est une ...
... maîtresse déchaînée qui bientôt clame son plaisir. Les voisins vont nous regarder d’un drôle d’air demain matin, mais au diable la retenue. C’est une sensation étrange de partager les entrailles de sa femme. Mais, bordel, quel plaisir ! Je crache mon jus, discrètement, tenant jusqu’au bout mon rôle de mari dormeur. L’enculeur résiste plus longtemps mais il a l’avantage d’avoir déjà craché sa purée un peu plus tôt dans la soirée. — Je veux te recevoir dans ma bouche, lui annonce la salope qu’il encule et que je viens de remplir de sperme. Rien n’est meilleur que des instants pareils. Bien sûr, il la prévient. Hasard, ou suprême perversité d’Anne, elle se place tout près de mon visage. La semence jaillit, puissante et généreuse. Une partie tombe sur ma figure. J’en ressens la brûlure comme une marque au fer rouge. Le fer du mari cocu, trompé, abusé par les amants. Mais ce sont des brûlures bien douces, et le spectacle de ma femme recevant un hommage masculin entre ses lèvres transforme la crème en baume. Je me souviens de sa promesse de me faire sucer et boire jusqu’à la lie la queue de sa maîtresse. Mais Alexis est loin, et son fantasme risque d’attendre. Anne, perverse jusqu’au bout, étale le produit égaré sur mes lèvres. Mais je suis un acteur modèle et un mari obéissant, surtout lorsqu’on vient de m’offrir le plus beau des cadeaux par ce spectacle. Les amants se séparent. Damien, enchanté, veut recommencer demain ; mais Anne, toujours pleine de surprises, refuse, sauf s’il a ...