Candaulisme, un, deux, trois et demi, quatre...
Datte: 02/08/2017,
Catégories:
fhh,
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... que la cloison qui sépare les deux chambres est mince, très mince, et laisse passer tous les bruits. Oh, non, ce n’est pas ce que vous pensez ! Vous pensez qu’à côté, ils ronflent ? Non. Vous pensez alors que cette promiscuité bloque notre vie de couple et que, de peur de se faire remarquer, nous faisons l’amour en silence, donc tout en retenue ? C’est un peu vrai, mais pas uniquement. Le problème, c’est que mes beaux-parents font l’amour tous les soirs, et même quelquefois le matin. Le problème, c’est qu’ils ne savent pas que nous entendons tout. Eh oui, nos parents font l’amour. Ils ne nous ont pas trouvé dans une pochette surprise, et le bec de la cigogne c’est en réalité le sexe du papa qui joue avec maman. Cela gêne beaucoup ma femme qui refuse de leur faire une remarque. Moi, un peu moins. Moi, ce qui m’épate, c’est la différence de comportement de ma belle-mère. D’ailleurs, je la regarde maintenant avec un autre œil. Elle n’est plus seulement la mère de ma femme, mais est devenue une femme à part entière. Une femme dont les courbes sont agréables à l’œil. Une femme qui aime se faire baiser par son mari et bien d’autres choses, d’ailleurs. Ce n’est pas moi qui l’invente, non : je l’entends, presque chaque soir, encourager son mari pour qu’il la prenne. C’est la même femme que nous retrouvons, au petit déjeuner, dans sa robe de chambre défraîchie et qui houspille son mari afin qu’il ne traîne pas. Stop. Arrêtez. Vous avez des pensées immorales. Vous êtes en train de ...
... penser « Il va se faire sa belle-mère… » Jamais. Jamais. Ses petits cris d’encouragement ou la voix de son mari qui la félicite par un « Tu pompes comme une reine ! » me la rendent plus humaine, c’est tout. Respect à la famille. Point barre ! Par contre, cela bloque la libido d’Anne. Moi, au bout de quelques fois, la surprise passée, les joutes amoureuses de mes voisins ont plutôt tendance à m’inspirer. Mais ma femme est totalement imperméable à cette excitation. Alors ? Alors, j’ai innové. La salle de bain, la radio en marche, ou l’eau qui coule créent un bruit de fond qui rassure Anne. Nous avons retrouvé des plaisirs oubliés. L’attendre à la sortie de la douche, la queue déjà au garde-à-vous, hommage à sa beauté, c’est un bon début. La soulever et la poser sur le plan pour la sucer et plonger dans son intimité la réveille. Lui donner mon dard douloureux de bander afin qu’elle me pompe et recueille mon jus, c’est mieux. Mais il faut un bien à ce mal : la rareté ne nos ébats les rendent plus forts, et je peux la baiser longuement, jouir, et la reprendre sans débander. Mais tout de même, c’est un mois bien triste : passer des bras d’Alexis – avec un avant-goût de ce qui nous attendait – à la froideur d’une salle de bain, c’est dur. Vingt-huit jours ! Ils sont restés vingt-huit jours. Pendant tout ce temps, pas question de rencontrer Alexis, même chez elle. Anne avait la tête ailleurs. Pourvu que nous puissions reprendre cette nuit si chaude et si prometteuse ! Leur départ, le 30 ...