1. Candaulisme, un, deux, trois et demi, quatre...


    Datte: 02/08/2017, Catégories: fhh, 2couples, fhhh, couplus, cocus, vacances, forêt, Transexuels entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, hsodo, échange, exercice,

    ... dans ce chemin qui a largement abandonné le statut de chemin vicinal pour atteindre le niveau d’autoroute. Autoroute du Sud, autoroute des vacances et du plaisir. Maintenant je m’essaie aux couilles et les lèche comme des bonbons. C’est facile de les gober à tour de rôle alors qu’elles cherchent à m’échapper pour se placer au plus près de la queue. La queue, je la remonte aussi, centimètre après centimètre, prenant bien soin d’y abandonner des tonnes de salive. Enfin j’atteins la base du gland, de ce gland qui m’avait surpris la dernière fois, pointe monstrueuse, tel un champignon rose et délicat. Voilà, j’en ai fait le tour. La queue, vue de près, me paraît un monstre, un baobab avec un tronc énorme. Ainsi c’est cela la vision qu’a une femme lorsqu’elle pompe la queue aimée. Un regard à côté et je constate que si ma femme ne me quitte pas du regard, elle a abandonné sa position de prêtresse pour se transformer en cavalière chevauchant son amant, la chatte harponnée sur sa bite. Un sourire, un encouragement, une parole muette : « Oui, fais-le » et mes lèvres s’entrouvrent pour gober le gland. Une goutte de liquide donne un goût neutre et je m’applique à l’introduire au plus profond de ma bouche. Ma langue entoure le sillon et je sens la queue frémir. C’est comme un déclic. Mes lèvres coulissent si loin que le gland vient buter au fond de ma gorge, mais cela ne me gêne pas, au contraire. Je sens le dard vibrer, alors je pompe, j’aspire, je tresse des liens de salive qui ...
    ... transforment ma succion en bruits gras et obscènes. À côté de moi, Anne, qui me regarde toujours, se baise sur son amant, excitée par le spectacle que son mari lui offre. Moi aussi je bande. Difficile à dire si c’est par ce que je fais ou grâce à ce que je vois. Les deux sans doute, mais d’y réfléchir me rappelle un fantasme que je n’ai pas pu réaliser le fameux soir. Je me lève et tire Alexis du lit pour l’amener derrière ma femme. D’un geste, je lui demande d’attendre. Attendre juste le temps pour moi de sortir mon appareil photo. Cette fois-ci, je veux mettre toute les chances de mon côté et garder un souvenir vivant d’un rêve réalisé. Il comprend. Anne s’est spontanément penchée sur son amant. La queue que j’ai préparée, luisante de ma salive, s’approche. Cette fois-ci, mon appareil est plus facile et le zoom plus efficace. Je ne veux pas en perdre une miette et pouvoir montrer plus tard à ma femme la lente avancée de la bite dans son cul. Son anus qui ne résiste pas et que les muscles relâchent pour l’ouvrir à l’assaut. La lente progression de l’animal étranglé par le sphincter mais qui inexorablement trace son chemin. Mais aussi ce doux piston qui, sous prétexte de reculer, permet à Alexis d’avancer un peu plus à chaque fois. Anne soupire, et son visage que je saisis montre toute la rudesse de son enculade. La queue d’Alexis joue dans une autre catégorie et, si elle a déjà emprunté ce chemin, j’ai le souvenir d’Anne lui criant de l’enculer. Jamais sa chatte n’a été occupée ...
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