1. Candaulisme, un, deux, trois et demi, quatre...


    Datte: 02/08/2017, Catégories: fhh, 2couples, fhhh, couplus, cocus, vacances, forêt, Transexuels entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, hsodo, échange, exercice,

    ... prendre entre ses lèvres… Voilà, prise de partout, prise par tous les trous. Le bonheur du candauliste. Le nirvana du mari complaisant. Alexis, juste en face de moi, sourit et me fait un clin d’œil. Maintenant Anne s’active pour le bonheur de ses trois amants et des trois queues qu’elle suce et pompe par la bouche, par le con et par le cul. J’ai bien du mal à continuer de filmer, le lit se balançant sous les mouvements de nos corps. Pourtant, lorsque je jouis, j’ai la présence d’esprit de zoomer sur ma queue et les lèvres de ma femme laissant échapper des traînées de mon sperme. Déjà, en cet instant, Anne jouit. J’en veux pour preuve la frénésie avec laquelle elle se baise et sa façon de garder la bouche ouverte comme pour chercher de l’air, me montrant le visage d’une femme, les traits tirés et du foutre coulant sur son menton. Le tableau est idyllique. Merveille de la nature humaine, preuve de l’imagination sans bornes de l’humain pour assouvir ses passions et atteindre l’orgasme tant désiré. Enfin, tout ce que son corps ressent sort par un râle sourd qui la libère. Ses amants continuent encore de s’activer en elle ; Damien jouit dans sa capote et Alexis, toujours amant privilégié et « safe », crache sa sauce dans le cul d’Anne. Il faudra quelques minutes pour que le trio se décompose. Le lit est presque trop étroit pour nous recevoir tous les quatre. Comme il fait une chaleur d’enfer, je propose d’ouvrir la porte après avoir éteint la lumière et d’aller sur la petite ...
    ... terrasse. Il est très tard, et aucune lumière ne transpire des bungalows voisins. La terrasse n’est éclairée que par la lune derrière des nuages, les éclairages du camping étant éteints par économie d’énergie. Alexis et Damien s’installent dans les fauteuils d’osier ; Anne et moi, après avoir apporté des rafraîchissements, sur la petite table basse. Le camp est silencieux ; on entend seulement le ronflement lointain d’un dormeur. Personne ne trouble cette quiétude laissant nos corps s’apaiser et se rafraîchir. — Ça t’a plu, chéri ? me susurre ma femme à l’oreille.— Tu as été divine. Et toi, c’est comment avec trois amants ?— Inoubliable. J’ai cru qu’Alexis allait me déchirer ; mais après, divin. Je me demande si ta petite queue va me suffire maintenant, ajoute-t-elle, un sourire aux lèvres et venant m’embrasser. Puis elle reprend : — C’est à moi, maintenant, tu te souviens. Bien sûr que je me souviens de ce qu’elle m’avait avoué la fameuse nuit. À quoi bon répondre ? Elle me pousse pour me coucher sur la table basse, si peu grande que mes fesses et ma tête débordent. Elle me chevauche, me donnant sa chatte à lécher pendant qu’elle s’occupe de ma verge. J’y retrouve les saveurs fortes de sperme, de jus de femme et de transpiration. Cela m’excite, et déjà je sens ma queue se tendre. Mais elle ne reste pas longtemps, s’avance sur mon torse et ne maintient ma queue que par une main branleuse. Mes lèvres libérées ne restent ignorées bien longtemps, car Damien vient m’y présenter son ...
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