Candaulisme, un, deux, trois et demi, quatre...
Datte: 02/08/2017,
Catégories:
fhh,
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préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
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exercice,
... donner du plaisir à un autre. Le garçon jouit. Son sperme macule les seins, le cou et même le visage de sa maîtresse. Ils cherchent à faire disparaître la preuve de leur plaisir mais ne trouvent rien dans les poches. Le string d’Anne, ce petit bout de tissu, suffit à peine pour enlever le principal. Le reste doit former une seconde peau qui va sécher, mais en laissant une trace suspecte, preuve de jouissance masculine, humide et collante. J’arrive en courant au bungalow. En une seconde je me déshabille et me couche, tirant un drap sur mon corps nu. J’essaye de reprendre mon souffle pour donner l’apparence d’un mari endormi. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre. — Entre, dit ma femme, cédant le passage à son amant. La première chose qu’il voit dans la pièce, c’est le lit avec moi dedans, essayant de respirer au rythme d’un dormeur. — Mais ton mari est là. Vous n’avez pas de chambre ? dit-il, étonné de ma présence.— Non, il n’y avait plus de deux-pièces disponibles. On a dû se contenter d’un studio.— Mais…— Ne t’en fais pas. Il dort. Il prend toujours un somnifère et, avec l’alcool, il ne risque pas de se réveiller.— Éteins la lumière, au moins. Cette lampe que j’ai essayé d’orienter afin qu’elle laisse mon visage dans l’ombre, en produisant un contre-jour. — Surtout pas : il dort toujours avec. Pourquoi, elle te dérange ? Viens plutôt t’occuper de moi. Le garçon ne réplique pas de peur de paraître timoré face à cette femme sûre d’elle. À travers mes cils, je le vois ...
... reprendre son rôle d’amant, essayant d’oublier le mari qui dort juste à côté. Il ne reste pas beaucoup de boutons à défaire et le slip avait déjà fait son office, mince pièce de tissu que ma chère épouse, dans sa grande bonté, a laissé tomber à quelques centimètres de mon visage. J’y sens l’odeur de la jouissance, de cette humidité si caractéristique de la cyprine, et surtout celle du sperme que le tissu a ramassé entre ses seins. Je me retiens de ne pas l’attirer à moi pour mieux le sentir. Mais mon rôle est passif, ainsi l’a décidé mon épouse. Regarder, profiter, mais pas d’initiatives. La laisser faire. En peu de temps les deux amants sont nus, et le jeune montre à nouveau une belle érection. Comme tout mari candauliste, je suis fier de l’effet produit par mon épouse. Les baisers reprennent, les caresses fusent. Je ne sais qui est le plus entreprenant. Ma femme qui tient le membre dans sa main et le branle doucement comme s’il était encore nécessaire de l’exciter. Ou bien, ce garçon, pas si inexpérimenté que cela et qui sait où caresser, flatter, palper un corps de femme. Bientôt Anne rend grâce. Elle demande une capote au garçon et recouvre le vit conquérant de la mince couche protectrice, puis s’allonge sur le lit, en levrette, en disant : — Viens, prends-moi. C’est assez surréaliste. Anne est juste à côté de moi, mari condamné à dormir, regarder et subir. Pour un peu, il suffirait qu’elle tire sur le drap pour faire apparaître l’érection monumentale que sa présence et son ...